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HRM-BUMONDES 24 €
1101
1101 110 1071
Georgii Monachi Chronographia (éd. P. Jacobi Goar,
1652) p. 123.
1102
1102 110 1072
Au temps du roi Hyksos Aset. Voir le chapitre « Des
changements de l'heure et des saisons ».
1103
1103 110 1073
D'après la traduction de F.C Babbit.
1104
1104 110 1074
Voir Diogène de Laerte, Vie des philosophes illustres,
« Vie de Thalès ».
1105
1105 110 1075
Proclus Commentaire sur le Timée; Diogène de
Laërte Vies « Vie de Solon » 
Plutarque Vies, « Vie de Solon ».
1106
1106 110 1076
Aristote, Historia animalium, VI, 20 
naturelle, 34, 12 (trad. Bostock et Riley).
1107
1107 110 1077
Plutarque : Vies « La vie de Numa »,
XVIII.
1108
1108 110 1078
CF 
Cléomède, De motu circulari corporum celestium,
XI, 4.
1109
1109 110 1079
J. de Acosta, The Natural and Moral Histories of the Indies,
1880 (Historia natural y moral de las Indias, Séville,
1590).
1110
1110 111 1080
Diego de Landa, Yucatan, p. 59.
1111
1111 111 1081
D.G Brinton, The Maya Chronicles (1882).
1112
1112 111 1082
Note de Gates au Yucatan de De Landa, p. 59.
1113
1113 111 1083
R.C.E Long, « Chronology-Maya », Encyclopedia
Britannica (14e édit.). «Ils (les Mayas)
n'utilisaient jamais l'année de 365 jours pour calculer la
durée entre deux dates.»
1114
1114 111 1084
Markham, The Incas of Peru, p. 117.
1115
1115 111 1085
Joseph Scaliger Opus de emendatione temporum p 225; W Hales
New Analysis of Chronology 1809-1812; I, 31; W.H Medhurst,
notes pp. 405-406 de sa traduction The Shoo King (Shangaï,
1846).
1116
1116 111 1086
H. Murray, J. Crawford, etc. An Historical and Descriptive
Account of China (p. 235); The Chinese Classics, III, Pt. 2,
éd. Legge (Shanghai, 1865), note p. 21. Cf. aussi Cantor,
Vorlesungen, p. 92 : «Zuerst wurde von den Astronomen
Babylons das Jahr von 360 Tagen erkannt, und die Kreisteilung in
360 Grade solte den Weg versinnlichen welchen die Sonne bei ihrem
vermeintlichen Umlaufe um die Erde jeden Tag zurücklegte».
1117
1117 111 1087
C.F Dupuis (L'origine de tous les cultes, 1835-1836), en
anglais The Origin of all Religious Worship (1872), p. 411,
a rassemblé des documents sur le nombre 360, qui, dit-il,
représente les jours de l'année sans les jours
additionnels. Il cite les 360 dieux de la « théologie
d'Orphée », les 360 éons des génies
gnostiques, les 360 idoles devant le palais de Dairi au Japon, les
360 statues qui entourent celles de Hobal, adoré des anciens
arabes, les 360 génies qui prennent possession de l'âme
après la mort, « selon la doctrine des Chrétiens
de Saint Jean, les 360 temples édifiés sur la
montagne de Lowham en Chine, et le mur de 360 stades « dont
Sémiramis entoura la cité » de Babylone.
Toutes ces données n'ont pas suggéré à
celui qui les reccueillait l'idée qu'une année
astronomique de 360 jours avait été la raison du
caractère sacré du nombre 360.
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1119
1119 111 1089
«Le nombre 9 revient avec une telle insistance dans de très
nombreuses sagas qui, pour d'autres raisons, peuvent être
identifiées comme des sagas consacrées à la
Lune, que, j'en suis convaincu, le caractère sacré de
ce nombre tire son origine de son utilisation très ancienne
dans la division du temps» L'auteur de ce passage (E. Siecke,
Die Liebesgeschichte des Himmels, Untersuchungen zur
indogermanischen Sagenkunde 1892) ne supposait pas qu'il y
avait eu un changement dans la nature des cycles lunaires, et ne
connaissait pas les travaux du savant que je cite dans la note
suivante; pourtant, il fut contraint d'admettre que neuf
correspondait à une subdivision du mois.
1120
1120 112 1090
A. Kaegi « Die Neunzahl bei den Ostarien »
dans le volume dédié à H. Schweizer-Sidler
(1891).
1121
1121 112 1091
Kugler, « Die Symbolik der Neunzahl »,
Babylonische Zeitordnung, p. 192.
1122
1122 112 1092
E. Naville, Transactions of the Society of Biblical Archaeology,
IV (1875), I, 18.
1123
1123 112 1093
Roscher, Die enneadischen und hebdomadischen Fristen und Wochen,
vol. XXI, N° 4, des Abhandlungen der philol.-histor. Klasse der
Kgl. Sächs. Ges. Der Wissenschaften (1903).
Roscher, Die Sieben- und Neunzahl im Kultus und Mythus der
Griechen, Ibid., vol. XXIV, no 1 (1904): «Die beiden
Arten von Fristen schon bei Homer und ebenso auch im ältesten
Kultus nebeneinander vorkommen» (p. 54). «I der Zeit
des älteren Epos herrschend gewordene 9-tägige Woche»
(p.73).
1125
1125 112 1095
Cf. Ovide, Metamorphoses, VII, 23 
57.
1126
1126 112 1096
Roscher, Die Sieben-und Neunzahl.
1127
1127 112 1097
Roscher, Fristen und Wochen.
1128
1128 112 1098
Le mois sidéral, ou période durant laquelle la Lune
accomplit une révolution par rapport aux étoiles
fixes, est de 27 jours, 7 heures, 43 minutes. Mais les phases de la
Lune changent selon le mois synodique de 29 jours, 12 heures, 44
minutes. Après le mois synodique, la Lune revient à
la même position par rapport au soleil, pour l'observateur
terrestre.
1129
1129 112 1099
Ce sont sans doute ces perturbations qui amenèrent les dieux
dans « les Nuées »
d'Aristophane à accuser la Lune d'avoir jeté le
désordre dans le calendrier et le culte. Aristophane, « les
Nuées », v. 615 et suiv.
1130
1130 113 1100
Kugler, Babylonische Zeitordnung, p. 191, note.
1131
1131 113 1101
Ovide, Les fastes, I, 27 et suiv.
1132
1132 113 1102
Germinus, « Introduction aux phénomènes »
dans Petau, Uranologion (1630).
1133
1133 113 1103
Aulu-Gelle Noctes Atticae, III, 16.
1134
1134 113 1104
Plutarque, Les Questions Romaines, XIX.
1135
1135 113 1105
Eutrope, Brevarium rerum romanorum, I, 3, déclare :
« Numa Pompilius divisa l'année en dix mois ».
Ceci doit se rapporter au début du règne de Numa,
alors que le calendrier de Romulus était encore en usage.
1136
1136 113 1106
Procope de Césarée, Le Livre des guerres, liv.
V, « La guerre des Goths », (d'après
la trad. H.B Dewing, 1919), Sect. 31.
1137
1137 113 1107
Boll, Sternglaube und Sterndeutung, p. 92 ; A. Del Mar, The
Worship of Augustus Caesar, pp. 6, II, avec références
à Ovide, Virgile, Pline, Servius et Hyginus.
1138
1138 113 1108
M.P Nilsson, Primitive Time-Reckoning (1920), p. 89.
1139
1139 113 1109
A. Wirth, « The aborigines of Formosa »,
The American Anthropologist, 1897.
1140
1140 114 1110
A. Schiefner, Bulletin de l'Académie de St-Petersbourg,
Hist.-phil. Cl., XIV (1857), 198, 201 f.
1141
1141 114 1111
H. Hale, Ethnography and Philology : U.S Exploring
Expedition, 1838-42, VI (1846), 106, 170.
1142
1142 114 1112
G. Mathias, Lettres sur les Isles Marquises (1843), 211.
1143
1143 114 1113
N. Adriani et A.C. Kruijt, De Bare'e-sprekende Toradja's
(1912-1914), II, 264.
1144
1144 114 1114
Frazer, Ovid's Fasti (1931), p. 386.
1145
1145 114 1115
Ibid.
1146
1146 114 1116
W. Yate (missionnaire anglais du début du XIXe siècle),
cité dans Frazer, Ovid's Fasti, p. 386.
1147
1147 114 1117
Ibid.
1148
1148 114 1118
Nilsson, Primitive Time-Reckoning, p. 89.
1149
1149 114 1119
Le palais de Ninive fut la résidence de Sargon II,
Sennachérib, Esarhabdon, et Assourbanipal.
1150
1150 115 1120
J. Menant, La Bibliothèque du palais de Ninive (1880),
p. 100.
1151
1151 115 1121
R.C Thompson, The Reports of the Magicians and Astrologers of
Nineveh and Babylon, II, XVIII.
1152
1152 115 1122
1196
1196 1196
Note JdL: Les températures sur Mars varient entre - 140
degrés C au pôle Sud et 22 degrés C à
l'équateur.
W.W. Coblentz et C.O Lampland du Lowell Observatory, et E. Pettit
et S.B Nicholson du Mount Wilson Observatory.
1198 JdL. L'atmosphère de Vénus: dioxyde de carbone 96%,
azote 3,5%, monoxyde de carbone, argon, dioxyde de soufre et
vapeurs d'eau 0,5%.
1199 C.E St John et J.B Nicholson «The Spectrum of Venus»
Contributions from the Mount Wilson Observatory no 249, 1922. On a
émis l'hypothèse que Vénus est couverte de
formaldéhyde R.Wildt, bien qu'aucune raie spectrale de ce
composé n'ait été identifiée dans
l'atmosphère de Vénus.
1200 Chiffres d'Arrhenius, Das Schicksal der Planeten (1911), p.
6. E.A Antoniadi (La planète Mercure 1939 - p. 49)
donne 0.63 pour Vénus, et 0.17 pour Mars et 0.10 pour la
Lune.
1201 JdL. Atmosphère de Jupiter : hydrogène 90%,
hélium 10%, traces d'ammoniaque, de méthane et de
vapeurs d'eau.
1202 FE Ross Photographs of Venus Contributions from the Mt
Wilson Observatory, no 363 (1928).
1203 Coblentz et Lampland, Journal of Franklin Institute, vol.
CXCIX, (1925), 804.
1204 E. St. John et S.B Nicholson, « The Spectrum of
Venus », Astro-physical Journal, vol. LVI (1922).
1205 JdL. La rotation de Vénus est de 243 jours et 14 minutes,
voir «Vénus» au début de ce livre dans le
dossier de présentation.
1206 Ross, « Photographs of Venus », p. 14.
1208 JdL. En effet, tout brûle sur Vénus, on y voit même
des fleuves de lave en fusion. Cf. «Vénus» dans
le dossier de présentation en début de ce livre.
1209 Lucrèce, De rerum natura, V (trad. C. Bailey, 1924).
1210 The Sibylline Oracles, trad. Lanchester.
1211 Sénèque, Naturales quaestiones, III, XXX
(trad. J. Clarke).
1212 Sénèque, Epistolae morales, épître
XCL (trad. R.M Gummere).
1213
A propos de mon hypothèse d'une amnésie collective,
G.A. Atwater suggère qu'on devrait rechercher les traces des
expériences terrifiantes du passé dans le
comportement présent de l'homme.
1214 L'un des auteurs de la théorie des marées, Harold
Jeffreys, écrit que « la petitesse des
excentricités des orbites des planètes et des
satellites » est le plus remarquable des « faits
très frappants » qui « demeurent
encore inexpliqués » par la théorie des
marées.
1215 Voir la description d'une calamité soudaine dans Nombres 16,
45-49, où des milliers d'Israélites errant dans le
désert furent « consumés comme en un
instant ».
1217 H.N. Russel.
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