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801 80 775
Dans la section suivante « Est et l'Ouest »,
nous avons parlé plus en détail du Soleil qui se
couche à l'Est au lieu de l'Ouest, et cité plusieurs
auteurs grecs. Nous y reviendrons en examinant les traditions
orales des peuples primitifs dans une section sur le folklore.
802
802 80 776
Publié par Ronald Strath. Je n'ai pas pu retrouver cette
publication. Dans Moons Myths and Man (1938), p. 258,
Bellamy y fit allusion. J'ai trouvé une autre allusion à
l'ouvrage de Strath dans Jean Gattefossé et Claudius Roux,
Bibliographie de l'Atlantide et des questions connexes
(Lyon, 1926), sous le n° 1184, mais ces auteurs n'ont pu
retrouver la publication. Cf. P. Jensen, Kosmologie, III,
R561, 5a : « Une grande étoile tomba ».
Les Babyloniens appelaient Jupiter « La grande étoile ».
Et Jensen demandait quelle grandeur avait cette étoile.
803
803 80 777
Section Sanhedrin 96a.
804
804 80 778
Outre Arès, Hercule représente aussi la planète
Mars ( Eratosthène «Eratosthenis
catasterismorum reliquiae», éd. C. Robert, 1878) :
« Tertia est Stella Martis quam alii Herculis dixerunt.«
(Mars est la troisième étoile, d'autres disent que
c'est Hercule). De même, Macrobe (Saturnalia, III, 12,
5-6), qui s'appuie sur Varron.
805
805 80 779
Polybe fixe la fondation de Rome à la 2e année de la
7e olympiade (750 av JC) 
de la 7e olympiade - 751; Verrius Flaccus à la 4e année
de la 6e olympiade - 752; Varron, à la 3e année
de la 6e olympiade - 753; Censorinus adopta la date de Varron.
806
806 80 780
Plutarque, Vies « La vie de Romulus »
(trad. B.Perrin, 1914).
807
807 80 781
Cf. F.K Ginzel, Spezieller Kanon der Sonnen und Mondfinsternisse
(1899), et T. Von Oppolzer, Kanon der Finsternisse
(1887).
808
808 80 782
Voir Ginzberg, Legends, VI, 280.
809
809 80 783
Plutarque, Vies « La vie de Romulus ».
810
810 81 784
Ovide, Les Fastes (trad. Frazer, 1931), II, vers 489 et
suiv.
811
811 81 785
Saint Augustin : La Cité de Dieu, liv. 18, chap.
27.
812
812 81 786
Cité dans W.W. Fowler « Mars »,
Encyclopedia Britannica, 14e édit.
813
813 81 787
Roscher, « Mars », dans Roscher's Lexicon
der griech und röm Mythologie.
814
814 81 788
Ibid., col. 2402.
815
815 81 789
J. Böllenrücher, Gebete und Hymnen an Nergal
(1904), p. 3.
816
816 81 790
II, Rois 17, 30.
817
817 81 791
Luckenbill, Records of Assyria, II, Sect. 508.
818
818 81 792
Ibid. Sect. 922.
819
819 81 793
Jérémie 39,3.
820
820 82 794
J'aborde dans 'Ages in Chaos' de l'ordre chronologique des rois
dans l'Empire néo-babylonien.
821
821 82 795
Schaumberger, dans Kugler, Sternkunde und Sterndienst in Babel,
3e supp., p. 307.
822
822 82 796
Bezold, dans Boll's Sternglaube und Sterndeutung, p. 6.
823
823 82 797
Thibaut, « Astronomie, Astrologie und Mathematik »
Grundriss der indoarischen Philologie und Alterthumskunde, III
(1899).
824
824 82 798
Böllenrücher, Gebete und Hymnen an Nergal, p. 9,
19 («Zauberspruch mit Handerhebung an den Mars-Stern»)
825
825 82 799
Schaumberger dans Kugler's Sternkunde p 304; Böllenrücher,
Gebete und Hymmen an Nergal, page 21 et suiv.
826
826 82 800
Langdon, Sumerian and Babylonian Psalms (1909), p. 85.
827
827 82 801
Apuleius, Tractate of the World 
Chwolson, Die Ssabier und Ssabismus, II, 188.
828
828 82 802
Rufus et Hsing-chih-tien, The Soochow Astronomical Chart.
829
829 82 803
Luckenbill, Records of Assyria. II, sect. 121.
830
830 83 804
Böllenrücher, Gebete und Hymnen an Nergal, p. 9.
831
831 83 805
Langdon, Sumerian and Babylonian Psalms, p. 79.
832
832 83 806
The Fragments of Empedocles (trad. W.E Leonard, 1908), p.
30.
833
833 83 807
Voir R. Carpenter, « The Antiquity of the Greek
Alphabet » et B. Ullman, «How Old Is the
Greek Alphabet?» dans American Journal of Archeology,
37 (1933) et 38 (1934), respectivement.
834
834 83 808
Quand il découvrit les vestiges les plus anciens, Schliemann
identifia l'avant-dernière des villes superposées
avec celle de l'Ilium de l'Iliade 
archéologues changèrent d'opinion et déclarèrent
que les ruines de la sixième ville étaient celles de
la Troie homérique.
835
835 83 809
G. Karo, « Homer » dans Ebert's
Reallexikon der Vorgeschichte, vol. V.
836
836 83 810
L'Iliade V.
837
837 83 811
The Odyssey of Homer with the Hymns (trad. Buckley) p. 399.
La traduction de H. Evelyn-White (vol. d'Hésiode dans la
Loeb Classical Library) est : « Qui fait
tourner la sphère de feu parmi les planètes en leur
septuple révolution à travers les airs, où tes
coursiers de feu t'emportent toujours au-dessus du troisième
firmament céleste » Allen, Holliday et Sikes, The
Homeric Hymns (1936) p. 385 considèrent l'hymne à
Arès comme post-homérique.
838
838 83 812
Ces vues divergentes sont présentées par L. Preller
(Griechische Mythologie 1894), G.F Lauer (System der
griechischen Mythologie -1853-, p. 224), F.G Welcker
(Griechische Gotterlehre, I - 1857, p. 415), et H.W Stoll
(Die ursprüngliche Bedeutung des Ares - 1855).
839
839 83 813
Lucien, Astrologie, Sect. 22.
840
840 84 814
Dans la même phrase, Lucien identifie Vénus avec
l'Aphrodite de l'Iliade.
841
841 84 815
Heracliti questiones Homericae (éd. Teubner 1910),
cf. F. Boll, Sternglaube und Sterndienst (éd. W.
Gundel, 1926), p. 201.
842
842 84 816
J.G Müller, Der mexikanische Nationalgott Huitzilopochtli
(1847).
843
843 84 817
Sahagun, A History of Ancient Mexico (trad. F.R Bandelier,
1932), p.25.
844
844 84 818
H.H. Bancroft, The Native Races of the Pacific States
(1874-1876), III, 302.
845
845 84 819
Ibid, p. 301.
846
846 84 820
Sahagun, Historia General de las cosas de la Nueva Espana,
III, chap. I, Sec. 2.
847
847 84 821
James Legge, The Chinese Classics, III, Pt. I, 125.
848
848 84 822
L. Wieger, Textes historiques (2e éd.,
1922-1923), I, 50.
849
849 84 823
Erastosthène, éd. Robert, p. 195.
850
850 85 824
The Soochow Astronomical Chart (trad. et éd. Rufus et
Hsing Chih Tien).
851
851 85 825
J.C Ferguson, Chinese Mythology (1928), p. 29.
852
852 85 826
Wen-Tsé dans Textes Taoïstes, trad. C. de Harlez
(1891).
853
853 85 827
Hoei-nan-tsé dans Textes Taoïstes.
854
854 85 828
L. Hodous, « Taoism », Encyclopaedia
Britannica, 14e éd.
855
855 85 829
Surya-Siddhanta, chap. VII (trad. Burgess).
856
856 85 830
La formule suivante est une illustration de la méthode du
Surya. « Multipliez la circonférence de la Terre
par la déclinaison du Soleil en degrés, et divisez
par le nombre de degrés dans un cercle 
en yojanas donne la distance depuis le lieu sans latitude où
le soleil passe au-dessus de nous » Chap. XII.
857
857 85 831
Tycho Brahé, postérieurement à Copernic,
admettait encore cette conception.
858
858 85 832
Surya-Siddhanta, note p. 13.
859
859 85 833
Ibid, p. 248.
860
860 86 834
Bentley, A Historical View of the Hindu Astronomy (1825), p.
75: «Les périodes elles-mêmes étaient
nommées Yugas, ou conjonctions».
861
861 86 835
The Bundahis, Pahlavi Texts (trad. West).
862
862 86 836
« Die Planetem rannten, Verwirrung stiftend, gegen
den Himmel an. » Hertel, «Der Planet Venus
in Avesta», Berichte der Sächsischen Akademie der
Wissenschaften, Phil. Hist. Klasse, LXXXVII (1935).
863
863 86 837
Le Bundehesh, chap. III, sect. 19-25.
864
864 86 838
Voir plus loin la section Loup Fenris.
865
865 86 839
Olrik, Ragnarok, p. 339.
866
866 86 840
Le Bundehesh, chap. V, sect. I.
867
867 86 841
L'exentricité de l'orbite de Vénus est 0,007.
868
868 86 842
Inclinaison sur le plan de l'écliptique 3 degrés 4'
(Duncan 1945).
869
869 86 843
Böllenrücher, Gebete und Hymnen an Nergal, p 19,
Bezold, dans Boll Sternglaube und Sterndeutung p. 13:
«Gebete der handerhebung: von demen eine Anzahl an
Planetengötter andere dagegen ausdrücklich an die
Gestirne selbst (Mars) gerichtet sind» (des prières
avec élévation des mains; certaines sont adressées
aux dieux planétaires, d'autres, très nettement aux
planètes elles-mêmes).
870
870 87 844
I Chroniques 21, 16.
871
871 87 845
Isaïe 31, 8-9.
872
872 87 846
Isaïe 34, 4-5.
873
873 87 847
Gundel, « Kometen », dans
Pauly-Wissowa, Real-Encyclopädie, XI, col.1177, avec
référence à Cat. cod. astr., VIII, 3, p.175.
874
874 87 848
Böllenrücher Gebete und Hymnen an Nergal, p. 8.
875
875 87 849
Hérodote IV, 62.
876
876 87 850
Solinus, Polyhistor (trad. A. Golding, 1587), chap. 23.
877
877 87 851 Gebete und Hymnen an
Nergal, p. 36.
878
878 87 852
Kugler Babylonische Zeitordnung, vol. II de Sternkunde
und Sterndienst in Babel, 91.
879
879 87 853
Sahagun Historia general de las cosas de Nueva Espana, vol.
I.
880
880 88 854
Bezold dans Boll, Sternglaube und Sterndeutung, p. 9.
881
881 88 855
Breasted Records of Egypt, III, Sect.144.
882
882 88 856
Ceux qui interprétèrent cette carte supposèrent
que l'étoile Loup représentait Sirius.
883
883 88 857
Cf. Virgile, Enéide IV, 566 
de Rome, liv. XXII, I, 12. Sur la voie Apienne, une statue de
Mars se dressait entre deux statues de loup. « Parmi les
animaux qui représentent Mars, le loup tient la première
place. Le loup était associé si intimement à
Mars que Lupus Martius, ou Martialis, devint son appellation
ordinaire. Quant à la signification du symbole, il est
difficile de la saisir». Roscher, dans Lexikon d. Griech,
und röm, Myth. S.v. de Roscher. « Mars »,
col. 2430.
884
884 88 858
J. Machal, Slavic Mythology (1918), p. 229.
885
885 88 859
L. Frobenius, Das Zeiltater des Sonnengottes (1904), I, 198.
886
886 88 860
The Poetic Edda : Völuspa (trad. Bellows, 1923).
887
887 88 861
Breasted, Records of Egypt, IV, Sect. 764.
888
888 88 862
Isaïe 19, 2.
889
889 88 863
Gradiner, « New Literary Works from Ancien Egypt »,
i, Journal of Egyptian Archeology,1914.
890
890 89 864
The Poetic Edda : Völuspa (trad. Bellows).
891
891 89 865
Luckenbill, Records of Assyria, II, Sect. 250.
892
892 89 866
Ginzberg, Legends, IV, 267, n. 53.
893
893 89 867
Luckenbill, Records of Assyria, II, Sec.121.
894
894 89 868
D'après la traduction de A.W.Ryder (1912).
895
895 89 869
Kugler, Babylonische Zeitordnung, p. 91.
896
896 89 870
F.Arago, Astronomie populaire, IV, 204.
897
897 89 871
Isaïe 37, 9.
898
898 89 872
Sidney Smith, Babylonian Historical texts (1924), p. 5.
899
899 89 873
Manuscrit Ramirez (XVIe siècle), trad. De D. Charnay,
Histoire de l'origine des Indiens qui habitent la Nouvelle
Espagne selon leurs traditions (1903), p. 9.
900
900 90 874
La même idée, mais qui attribue les causes des
catastrophes à la variation des positions des étoiles,
se trouve dans Nigidius, cité par Lucan et dans Olympiodore,
Commentaire sur Aristote. Voir Boll, Sternglaube, p.
201, et idem, Sphaera, p. 362; Gennadius (George Scholarius,
patriarche de Constantinople), Dialogus Christiani cum Judaeo
(1464). Une édition française des ouvrages de
Gennadius a été imprimée en 1930.
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