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 HRM-BUMONDES 24 € 
301
301  30 295 
E.F Weidner, Handbuch der Babylonischen Astronomie (1915),
I, 75. 
302
302  30 296 
Sefer Pirkei Rabbi Elieser. 
303
303  30 297 
L'Iliade, 21. 
304
304  30 298 
Cf. W. Bousset, The Antichrist legend (trad. A.H Keane,
1896), p.113. 
305
305  30 299 
Ginzberg Legends, III, 97; Le Talmud de Babylone, Section
Shabbat 88b. 
306
306  30 300 
Papyrus Ipuwer IV, 2, 4-5. 
307
307  30 301 
Pour la prononciation chinoise de ce nom, voir R. Van Bergen, Story
of China (1902), p.112. 
308
308  30 302 
Dans le vol 60 du Lexique Universel Leipzig-Halle 1732-1754,
à Yao, on lit que certains appellent Yao du nom de Tam et
aussi Tao. Ceci est curieux, car dans ma reconstruction de
l'histoire ancienne, j'arrive à la conclusion que le pharaon
de l'Exode était Taui Thom (en grec « Tau
Timaeus ») de la 13e dynastie, la dernière
du Moyen Empire. Il était contemporain du roi chinois. 
309
309  30 303 
F. Shelton, « Mythologie de Puget Sound :
Origine de l'exclamation « Yahou »
Journal of American Folklore, 37 (1924). 
310
310  31 304 
J.G Frazer, The Worship of Nature (1926), p. 665, F. Boas,
Kwakiutl Culture as reflected in Mythology (1935), p. 130,
parle de Yuwe gendayusens ma la, «la frontière du
monde battue des vents» d'où viennent aussi «les
flèches porteuses de mort, qui embrasent les montagnes». 
311
311  311 Note
JdL: Prononcer Dju DJu Iouv. 
312
312  31 305 
Psaumes 68, 4. 
313
313  31 306 
Cf. R.A Bowman, « Yahweh the Speaker »,
Journal of Near Eastern Studies, III (1944). H. Torczyner,
Die Bundeslade und die Anfänge der Religion Israels
(1930), p. 3, voit une relation entre le mot jhwh et le mot arabe
wahwa, rugir. 
314
314  31 307 
Diodore de Sicile, Bibliothèque de l'Histoire, 1, 94. 
315
315  31 308 
Brasseur, Quatre lettres sur le Mexique, p. 374. 
316
316  31 309 
H. Murray, J. Crawfurd et autres, An Historical and Descriptive
Account of China. 
317
317  31 310 
«Yao » Universal Lexicon, vol. LX (1749). 
318
318  31 311 
J. Hübner, Kurze Fragen aus der politischen Historie
(1729). 
319
319  31 312 
The Shu King, The Canon of Yao (trad. Legge, 1879). Voir
aussi C.L.J de Guignes, Le Chou-king (1770), Pt. I, chap. I,
and J. Moryniac, Histoire générale de la Chine
(1877), I, 53. 
320
320  32 313 
The Shu King. 
321
321  32 314 
Andree, Die Flutsagen, p. 36; C. Deckert, Der Hoangho und
seine Stromlaufänderung, Globus Zeitschrift fur Lander - und
Völkerkunde, LIII (1888), 129, sur le déluge de
1887. 
322
322  32 315 
Daly, Our Mobile Earth, p. 3. 
323
323  32 316 
The Shoo-king (édition de Hong Kong). 
324
324  32 317 
The Annals of the Bamboo Books, vol. III, Pt. I et The
Chinese Classics (trad. Legge), p. 112. 
325
325  32 318 
Andree, Die Glutsagen, qui cite S. Turner, An Account of
an Embassy to the Court of the Teshoo Lama in Tibet (1800). 
326
326  32 319 
Eckstein, Sur les Sources de la cosmogonie du Sanchoniathon
(1860), P. 227. 
327
327  32 320 
Hérodote, liv. II, 142. 
328
328  32 321 
Joseph Scaliger, Opus de emendatione temporum (1629), III,
198. 
329
329  32 322 
Humboldt, Vues des Cordillère, II, 131 (Researches,
II, 30). 
330
330  33 323 
A. Wiedemann, Herodots zweites Buch (1890), p. 506 :
Tiefe Stufe semer naturwissenschaftlichen Kenntnisse. 
331
331  33 324 
P.M de la Faye dans Histoire de l'art égyptien de Prisse
d'Avennes (1879), p.41. 
332
332  33 325 
Pomponius Méla, De situ orbis. 1, 9, 8. 
333
333  33 326 
Méla, à la différence d'Hérodote,
estimait que la durée de l'histoire égyptienne
jusqu'à Amasis (mort en 525 av. J.C) correspondait à
330 générations, soit plus de 13.000 ans. 
334
334  33 327 
H.O Lange Der Magische Papyrus Harris, K. Danske
Videnskabernes Selskab (1927), p. 58. 
335
335  33 328 
Papyrus Ipuwer II, 8 Cf. Lange's (German) traduction du papyrus
(Sitzungsberichte d. Preuss. Akad. Der Wissenschaften - 1903 - pp.
601-610) 
336
336  33 329 
Gardiner, Journal of Egyptian Archeology, I (1914) 
Cambridge Ancient History, I, 346. 
337
337  33 330 
Breasted, Ancient Record of Egypt, III, Sec. 18. 
338
338  33 331 
L. Speelers, Les textes des Pyramides (1923), I. 
339
339  33 332 
K. Piehl, Inscriptions hiéroglyphiques, seconde série
(1892), p. 65 : « l'ouest qui est à
l'occident ». 
340
340  34 333 
A. Pogo, The Astronomical Ceiling Decoration in the Tom of Snmut
(XVIIIe Dynastie), Isis (1930), p. 306. 
341
341  34 334 
Ibid., p 306, 315, 316. 
342
342  34 335 
Platon, Le Politique. 
343
343  34 336 
The fragments of Sophocles, édités par A.C
Pearson (1917), III, 5, fragment 738 : voir aussi ibid., I,
93. Ceux des auteurs grecs qui attribuèrent un changement
permanent de la direction du Soleil sous Atrée, tyran
d'Argos, confondent deux événements : une
interversion durable de l'Ouest et de l'Est, qui eu lieu
antérieurement, et un mouvement rétrograde temporaire
du Soleil à l'époque des tyrans d'Argos. 
344
344  34 337 
Euripide, Electre. 
345
345  34 338 
Strabon, Géographie, 1, 2, 15. 
346
346  34 339 
Les étoiles se lèvent chaque nuit quatre minutes plus
tôt 
rapport aux étoiles, et 365 et quart par rapport au Soleil. 
347
347  34 340 
Euripide, Oreste. 
348
348  34 341 
Sénèque, Thyeste. 
349
349  34 342 
Aristote. Voir aussi Plutarque qui, dans les Opinions des
Philosophes, prétend que, selon Pythagore, Platon et
Aristote, « L'Est est le côté droit et
l'Ouest le côté gauche ». 
350
350  35 343 
Platon, les Lois, IV, 760, d. 
351
351  35 344 
Platon, Timée, 43 B et C. 
352
352  35 345 
Cf. Les commentaires de Bury sur Timée. Notes, pages 72 et
80. 
353
353  35 346 
Platon, Timée, 43 D et E. 
354
354  35 347 
Voir note de Frazer à l'épitome II de la traduction
d'Apollodore 
506 
Fragment 738. 
355
355  35 348 
Solinus, Polyhistor 
356
356  35 349 
Bellamy, Moons, Myths and Man, p. 69. 
357
357  35 350 
Ibid. 
358
358  35 351 
C. Virolleaud. « La désse Anat »,
mission de Ras Shamra, Vol IV ( 1938). 
359
359  35 352 
Humboldt, Researches, I, 351. Voir aussi du même
auteur, Examen critique de l'histoire de la géographie du
nouveau continent (1836-1839) , II, 355. 
360
360  36 353 
Seler, Gesammelte Abhandlungen, II, 799. 
361
361  36 354 
Seler, embarrassé par cette affirmation des vieilles sources
mexicaines que le Soleil se déplaçait vers l'Est,
écrivit : « Le déplacement vers
l'Est et la disparition à l'Est.. doivent être pris
dans le sens littéral.. Cependant, on ne peut imaginer que
le Soleil se déplace vers l'Est. Le Soleil et tout le
firmament des étoiles fixes se déplace vers
l'Ouest. » « Einiges über die
natürlichen Grundlagen mexicanischer Mythen.« (1907)
dans Gesammelte Abhandlungen, Vol. III. 
362
362  36 355 
Ibid ., aussi Brasseur, Histoire des nations civilisées
du Mexique, I, 123. 
363
363  36 356 
Seler, « Ueber die natürlichen Grundlagen»
Gesammelte Abhandlungen, III, 320. 
364
364  36 357 
Olrik, Ragnarok, p. 407. 
365
365  36 358 
Voir M. Steinschneider, Hebraïsche Bibliographie (1877),
vol. XVIII. 
366
366  36 359 
Section Sanhedrin 108 b. 
367
367  36 360 
Steinschneider, Hebraïsche Bibliographie, vol XVIII,
pp. 61 et suiv. 
368
368  36 361 
Ginzberg, Legends, I, 69. 
369
369  36 362 
Taam Zekenim, 55b, 58b. 
370
370  37 363 
Coran, Sura 55. 
371
371  37 364 
Steinschneider, Hebraïsche Bibliographie, vol. XVIII. 
372
372  37 365 
J.A Fleming, The Earth's Magnetism and Magnetic Surveys,
dans Terrestrial Magnetism and Electricity, éd. J.A Fleming
(1939), p. 32. 
373
373  37 366 
A Mc Nish « On Causes of the Earth's Magnetism and
Its Changes » dans Terrestrial Magnetism and
Electricity, éd. Fleming, p. 326. 
374
374  37 367 
Voir le Talmud de Babylone, section Taanit 20 
Zava 25a. 
375
375  37 368 
Pirkei Rabbi Elieser 41 
376
376  37 369 
Le commentateur Rashi est surpris par la combinaison des mots « au
détour du matin » (Lifnot haboker). Le mot
lifnot (venant de Pana), quand il s'applique au temps
signifie « partir » ou « descendre ».
Le mot s'applique ici, non au jour qui descend, mais au matin qui
se lève, devient jour, mais ne descend pas. 
377
377  37 370 
Midrash Psikta Raboti 
(éd. Buber, 1885). 
378
378  37 371 
Ginzberg, Legends, III, 109. 
379
379  37 372 
Voir « Le monde rouge ». 
380
380  38 373 
J.M Crawford dans la préface à sa traduction du
Kalevala. 
381
381  38 374 
Cité par I. Donnelly, Ragnarok, p. 215, d'après
Andres de Olmos. Donnelly pensait que cette tradition signifiait
que « dans les ténèbres prolongées,
ils avaient oublié la position des points cardinaux ».
Il ne songeait pas qu'elle pût faire allusion au déplacement
des points cardinaux. 
382
382  38 375 
Sahagun, Historia general de las cosas de Nueva Espana, liv.
VII, chap. II. 
383
383  38 376 
Cité par Donnelly, Ragnarok, p. 210. 
384
384  38 377 
Exode 14, 3 
385
385  38 378 
Nombres II, 3 ; 34, 15 
386
386  38 379 
Cf Isaïe 21, 13. Dans Jérémie, 25, 20, le mot
«arabe» est employé pour désigner un
peuple d'origine mêlée. 
387
387  38 380 
Eusebius, Werke, vol. V, Die chronik (trad. J. Karst, 1911),
« Chronikon Kanon » ; Saint Augustin,
La Cité de Dieu, livre 18, chap. 12. 
388
388  38 381 
Hastings, « Eschatology », Encyclopedia of
Religion and Ethics. 
389
389  38 382 
Olrik, Ragnarok, p. 406. 
390
390  390 Note
JdL: Notons également les Gaulois qui n'avaient peur que
d'une seule chose, que leur ciel ne leur tombe sur la tête.
L'historien et philosophe grec Arrien, écrivait dans son
Expédition d'Alexandre: « Quand
Alexandre le Grand reçut les ambassadeurs des Celtes
danubiens, il leur demanda ce qui leur faisait le plus peur au
monde, espérant bien qu'ils allaient lui répondre que
c'était lui. Mais la réponse des Celtes trompa son
attente: ils répondirent que s'ils mettaient au-dessus de
tout l'amitié d'un homme tel que lui, ils ne craignaient en
fait qu'une seule chose: que le ciel ne leur tombe sur la tête »
déclaration qui, a priori, sous-entend qu'ils l'avaient déjà
expérimenté et que la simple évocation du
souvenir était toujours douloureuse, malgré les
générations et les années. Si l'on tient
compte de Velikovsky, seuls 350 ans environ séparaient les
Gaulois de la collision cosmique de l'Exode !!! Grâce à
Velikovsky, on comprend enfin POURQUOI nos ancêtres ne
craignaient qu'une seule chose... 
391
391  39 383 
Revue des traditions populaires, XVII (1902-1903), 571. 
392
392  39 384 
Cf. les ouvrages d'Arrhénius qui étudient l'influence
de l'anhydride carbonique de l'atmosphère sur la
température, et J. Tyndall (Heat a mode of Motion, 6e
éd. P. 417-418) sur l'influence du climat d'une couche
théorique de gaz oléfiant entourant notre Terre et
placée à une petite distance au-dessus de sa surface. 
393
393  39 385 
A. Erman, Egyptian Literature (1927), p. 309. Cf. J.
Vandier, La Famine dans l'Egypte ancienne (1936), p. 118 :
« Les mois sont à l'envers, et les heures se
confondent » (Papyrus Anastasi IV, 10), et R. Weill,
Bases, méthodes, et résultats de la chronologie
égyptienne (1926), p. 55. 
394
394  39 386 
Texts of Taoism (trad. Legge), I, 301. 
395
395  39 387 
Les Mémoires historiques de Se-ma Ts'ien (trad. E.
Chavannes, 1895), p. 47. 
396
396  39 388 
Ibid., p. 62. 
397
397  39 389 
Plutarque, Morale. 
398
398  39 390 
Plutarque, Isis et Osiris, 49. 
399
399  39 391 
Donnelly, Ragnarok, p. 212. 
 
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