8 Note JdL: Les dernières analyses de l'atmosphère de Mars donnent la composition suivante: 95% dioxyde de carbone, 2,7% d'azote, 1,6% d'argon, 0,7% d'eau, de monoxyde de carbone et vapeurs d'eau. 9 Isaac Newton, Principia (Mathematical Principles) (1686), livre III.

10 P.S. Laplace, Exposition du système du monde (1796).

11 Sir James H. Jeans, Astronomy and Cosmogony (1929)

12 Cette théorie fut énoncée par T.C. Chamberlin et F.R. Moulton

13 13 1 9

Théorie énoncée par J.H. Jeans et H. Jeffreys.

14 14 1 10

Jeans, Astronomy and Cosmogony, p 409.

15 15 1 11

Laplace, Théorie Analytique des probabilités (3e Ed 1820), p 61; F. H. Faye, Sur l'origine du monde (1884), pp 131-132

16 16 1 12

Par Lyttleton et, d'autre part, par Russell.

17 17 1 13

Jeans, Astronomy and Cosmogony, p. 395.

18 18 1 14

T.C. Chamberlin (The two solar families, 1928) a tenté d'expliquer les comètes dans le cadre de la théorie planétésimale  dispersés d'un grand cataclysme.

19 19 1 15

L'altération de la trajectoire d'une comète par les planètes peut être observée et même prévue par le calcul. En 1758, le retard de la comète de Halley lors de son second passage fut annoncé par Clairaut; ce retard (618 jours) était dû au passage de la comète près de Jupiter et de Saturne. Le calcul de Clairaut s'avéra sensiblement exact. De même, il est arrivé que l'orbite d'autres comètes fût déviée. La comète de Lexell fut déviée par Jupiter en 1767 et par la Terre en 1770. La comète de d'Arest le fut en 1860, celle de Wolf en 1875 et 1922. A la suite d'une rencontre avec Jupiter en 1886, la période de la comète Brook fut réduite de 29 à 7 ans; la période de Jupiter ne subit pas d'altération supérieure à deux ou trois minutes, et probablement moins.

20 20 2 16

H.N. Russell, The Solar System and its Origin (1935), p.40

21 21 21 Note JdL: Ere pré-cambrienne.

22 22 2 17

Harold Jeffreys, The Origin of the Solar System dans Internal Constitution of the Earth, B. Gutenberg. Éd. (1939).

23 23 2 18

G. Cuvier, Discours sur les révolutions de la surface du globe, et sur les changements qu'elles ont produit dans le règne animal. Paris, 1828, 5e édit, p 6-7.

24 24 2 19

Ibid. pages 240-242.

25 25 2 20

R.A. Daly, Our Mobile Earth (1926), p. 90.

26 26 2 21

Ensemble continental formé par l'Europe et l'Asie.

27 27 2 22

F.K. Mather, Review of Biography of the Earth par G. Gamow Science, janv. 16, 1942.

28 28 2 23

C.R. Longwell, A. Knopf, and R.F. Flint, A Textbook of Geology (1939), p. 405

29 29 2 24

R.A. Daly, The Changing World of the Ice Age (1934), p.16

30 30 3 25

Observation de D.F. Hertz dans B. Digby, The Mammoth (1926) page 9.

31 31 3 26

Cuvier, Discours sur les Révolutions de la surface du globe.

32 32 3 27

J.A. Deluc (1727-1817) Lettres physiques et morales sur l'histoire de la Terre.

33 33 3 28

Voir G.F. Kunz, Ivory and the Elephant in Art, in Archaeology, and in Science (1916), p.236.

34 34 3 29

A Prédmost en Moravie, on a découvert dans une caverne des vestiges de culture humaine et des ossements humains mêlés à ceux de huit cents à mille mammouths. Les omoplates de mammouths servaient d'outils pour construire des tombeaux humains.

35 35 3 30

Le recul a été de 1,50 m par an depuis 1764  est maintenant à 2,3 pieds sur la partie latérale de la cataracte du « sabot de cheval » , mais largement supérieur au centre.

36 36 3 31

G.F Wright, « The Date of the Glacial period », The Ice Age in North America and Its Bearing upon the Antiquity of Man (5ème éd., 1911)

37 37 3 32

Ibid., p. 539. Voir aussi W. Upham dans l'American Geologist XXVIII, p. 243 et XXXVI, p. 288. Le soulèvement du bassin du Saint-Laurent a eu lieu, selon lui, il y a 6000 ou 7000 ans. Le Saint-Laurent dut être libéré des glaces avant que l'action des chutes du Niagara se fît pleinement sentir. On a obtenu des chiffres similaires en étudiant les chutes de Saint-Anthony sur le Mississipi, à Minneapolis.

38 38 3 33

Keith pense que le développement du crâne humain a suivi un processus de progrès et de recul qui s'étend sur des périodes énormes.

39 39 3 34

Censorinus, Liber de die natali, 18.

40 40 4 35

Philon. De l'éternité du Monde, chap. VIII.

41 41 4 36

Hésiode, Les travaux et les Jours, I, 169.

42 42 4 37

Hésiode, Théogonie II

43 43 4 38

E. Moor, The Hindu Pantheon (1810), p. 102 ; A. von Humboldt, Vues des Cordillères (1816).

44 44 4 39

cf. C.-F. Volney, New Researches on Ancient History (1856); p.157

45 45 4 40

H.C Warren, Budhism in Translations (1896), p. 320 et suiv.

46 46 4 41

F. Cumont « La Fin du monde selon les mages occidentaux » Revue de l'histoire des religions (1931), p. 50  (1938), p.28 et suiv.

47 47 4 42

Bahman Yast (trad. E.W West) dans Pahlavi texts The Sacred Books of the East, éd; F.M Müller, V (1880), 191. W. Bousset «Die Himmelsreise der Seele», Archiv fur religionwissenschaft, IV (1901).

48 48 4 43

Dinkard, 8, chap 14 (trad. West), dans Pahlavi Texts (The sacred Books of the East, 38 (1892), 33.

49 49 4 44

Murray, Crawford et autres, An Historical and Descriptive Account of China (2e éd., 1836), I, 40.

50 50 5 45

G. Schlegel, Uranographie chinoise (1875), p. 740, au sujet de Wou-foung.

51 51 5 46

H.B Alexander, Latin American Mythology (1920), p. 240

52 52 5 47

Humboldt, Researches, II, 15.

53 53 5 48

C.E Brasseur de Bourbourg, S'il existe des sources de l'histoire primitive du Mexique dans les monuments égyptiens, etc. (1864), p.19

54 54 5 49

Brasseur, Histoire des nations civilisées du Mexique (1857-1859), I, 53

55 55 5 50

R.B Dixon, Oceanic Mythology (1916), p.15

56 56 5 51

R.W. Williamson, Religious and Cosmic Beliefs of Central Polynésia (1933), I, 89

57 57 5 52

The Poetic Edda : Voluspa 2e strophe traduction de l'islandais H.A. Bellow 1923.

58 58 5 53

Louis Ginzberg, Legends of the Jews (1925), I, 4, 9-10, 72; V, I, 10

59 59 5 54

Philon, Moïse, II, x, 53

60 60 6 55

Commentaire sur la Genèse, 11, 1.

61 61 6 56

Cf. R. Eisler, Welmantel und Himmelszelt (1910), II, 451

62 62 6 57

Brasseur, Sources de l'histoire primitive du Mexique, p.25

63 63 6 58

Fernando de Alva Ixtlilxochitl, Obras Historicas (1891-1892), Vol II, Historica Chichimeca.

64 64 6 59

Alexander, Latin American Mythology, p. 91.

65 65 6 60

Humboldt, Researches, II, 16.

66 66 6 61

Codex Vaticanus A, planches VII-X.

67 67 6 62

F.L de Gomara, Conquista de Mexico (éd. 1870), II, 261.

68 68 6 63

Liber memorialis IX.

69 69 6 64

Brasseur, Histoire des nations civilisées du Mexique, I, 206.

70 70 7 65

Warren, Buddhism in Translations, p. 322.

71 71 7 66

Ibid.

72 72 7 67

Dans le Talmud, le « Jour de Dieu » est égal à 1000 ans et aussi dans le 2e Livre de Pierre, 3, 8.

73 73 7 68

J. Schleifer, « Die Erzählung der Sibyller. Ein Apokryph nach den karshunischen arabischen und ethiposchen handschriften zu London», Oxford, Paris und Rom «Denkschrift der Kaiserl. Akademie der Wiss, Philos. Hist. Klasse » (Vienne) LIII (1910).

74 74 7 69

Cf. Dixon, Oceanic Mythology, p. 178.

75 75 7 70

Livre de Josué 10-12, 13. Note de l'époque du traducteur Morisset: « presque toutes les citations de la Bible sont empruntées à la version des moines de Maredsous. Cependant, certaines expressions, points de départ à des développements importants, ont été directement traduites de l'anglais ».

76 76 7 71

« Il est certain qu'on n'aurait pu imaginer fiction plus efficace ni plus propice à étayer une grande composition héroïque et lyrique » - G. Schiaparelli, Astronomy in the Old testament (1905), p. 40. 77 77 7 72

W. Whiston a écrit dans sa Nouvelle théorie de la Terre (6e éd. 1755) pp. 19-21, sur ce miraculeux arrêt du Soleil : «Les Ecritures ne se proposaient pas d'enseigner la philosophie aux hommes, non plus que de s'accorder avec la représentation pythagoricienne de l'Univers», et, plus loin : « Les prophètes écrivains sacrés, peu ou point philosophes, étaient incapables de représenter ces choses autrement qu'ils ne les comprenaient, eux et le vulgaire» . 78 78 78 Note JdL: chaque année au mois de juin est organisé à Ensishem ( en Alsace ) un salon des pierres célestes ou on peut acheter des météorites... La confrérie des gardiens de la météorite de l'empereur est toujours là...

79 79 7 73

C.-P. Olivier, Meteors (1925), p.4. 80 80 8 74

P. Bertholon, Publicazioni della specola astronomica Vaticana (1913).

81 81 8 75

D.F. Arago a un jour calculé qu'il y avait une chance sur 280 millions pour qu'une comète entre en collision avec la Terre. Néanmoins, il existe dans l'Arizona un cratère de 1.500 mètres de diamètre, produit par la collision d'une petite comète ou d'un astéroïde avec la Terre. Le 30 juin 1908, un bloc de fer de 40.000 tonnes s'abattit en Sibérie par 60 degrés 56' latitude nord et 101 degrés 57' longitude est. En 1946, la petite comète de Giacobini-Zinner passa à moins de 211.000 Kms du point de passage de la Terre huit jours plus tard. Tandis que je recherchais si la collision Terre-comète avait été l'objet de discussions antérieures, je découvris que W. Whiston, successeur de Newton à Cambridge et contemporain de Halley, tentait déjà de prouver, dans sa « Nouvelle théorie de la Terre » (première édit. 1696) que la comète de 1680 à laquelle il attribuait (inexactement) une période de 575 ans et demi provoqua le déluge biblique lors d'une lointaine rencontre avec la Terre. Cuvier, qui était incapable d'offrir une explication personnelle des causes des grands cataclysmes, se réfère à la théorie de Whiston en ces termes : «Whiston s'étonnait que la Terre eût été créée de l'atmosphère d'une comète et qu'elle eût été inondée par la queue d'une autre. La chaleur qui subsistait de son origine première selon lui, poussa toute la population antédiluvienne, hommes et animaux, au péché ; ce pourquoi ils furent tous noyés par le déluge, sauf les poissons dont les passions sont apparemment moins violentes» . I. Donnelly, écrivain, réformateur et membre de la Chambre des Représentants, essaya dans son livre Ragnarok (1883) d'expliquer la présence d'argile et de sable dans le sous-sol rocheux d'Amérique et d'Europe par une rencontre de la Terre et d'une comète, celle-ci répandit l'argile sur l'hémisphère terrestre qui lui faisait face au moment de la rencontre. Selon lui, l'événement avait eu lieu dans une période indéterminée, mais où les hommes peuplaient déjà la Terre. Donnelly semble ignorer que Whiston l'avait précédé dans cette voie. Il prétend qu'il n'y a d'argile que sur la moitié de la Terre : hypothèse arbitraire et fausse.

82 82 8 76

Josué, 10, 11

83 83 8 77

Ginzberg. Legends, 4, 11-12

84 84 8 78

Cette explication m'a été suggérée par M. Abramovich de Tel-Aviv.

85 85 8 79

H. Holzinger, Josua (1901), p.40, dans « Hand-commentar zum Alten Testament », éd. K. Marti. R. Eisler, « Joshua and the Sun », American Journal of Semitic Languages and Literature, XLII (1926), 83 : «Il eût été absurde, au petit matin d'une bataille, avec toute la journée devant soi, de demander à Dieu de prolonger la lumière du jour jusque dans la nuit ».

86 86 8 80

La langue Maya est encore parlée par 300.000 personnes environ, mais les seuls hiéroglyphes mayas que l'on connaisse avec certitude sont ceux qui figurent dans le calendrier.

87 87 8 81

Aussi connues sous le nom de Codex Chimalpopoca. « Ce manuscrit contient une série d'annales très anciennes dont beaucoup remontent à plus de mille ans avant l'ère chrétienne » (Brasseur).

88 88 8 82

Sefer Ha-Yashar. Ed L. Goldschmidt (1923)  Elieser (les documents hébreux varient sur la durée de l'immobilité du Soleil)  section Aboda Zara 25a; Targum Habakkuk III, 11. 89 89 8 83

A l'exception de l'horloge à eau.

90 90 9 84

Bernardino de Sahagun (1499?-1590), Historia general de las cosas de Nueva Espana, nouvelle ed. 1938, (5 vol) et 1946 (3 vol). Trad française D. Jourdahet et R. Simeon (1880, p. 481).

91 91 9 85

Ces sources seront citées aux pages suivantes.

92 92 9 86

Selon les sources rabbiniques, les guerres pour la conquête de la Palestine durèrent 14 ans.

93 93 9 87

Brasseur, Histoire des nations civilisées du Mexique, I, 130

94 94 9 88

A.H Gardiner, Admonitions of an Egyptian Sage from a hieratic papyrus in Leiden (1909). Son auteur était un Egyptien nommé Ipuwer. Nous appellerons désormais ce texte « Papyrus Ipuwer ». Dans Ages in Chaos, je prouve que ce papyrus décrit des événements contemporains de la fin du Moyen Empire égyptien et de l'Exode. Il dut être composé peu de temps après le cataclysme.

95 95 9 89

Exode, 9, 3, cf. Papyrus Ipuwer 5, 5.

96 96 9 90

Ginzberg, Legends, v., 430

97 97 9 91

Apollodore : la Bibliothèque, VI (d'après la trad. De J.G Frazer, 1921)

98 98 9 92

Commentaire de Frazer sur la Bibliothèque d'Apollodore, I, 50

99 99 9 93

The Seven Tablets of Creation, éd. L.W King (1902)

100 100 10 94

Kalevala, Rune 9