L'Erreur de Darwin

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L'Erreur de Darwin

Traduit de l'allemand par Marc Géraud

édition actualisée

Traduction française

ISBN : 9782-914569-989

Remerciements

Je les dois à tous ceux qui ont cru en ce projet inhabituel et l’ont soutenu. En particulier à mon lecteur Hermann Hemminger, qui a toujours soutenu mon travail et a contribué grâce à de précieux tuyaux à l’amélioration du manuscrit, et à l’ensemble de la maison d’édition, surtout la direction de l’édition, qui a été assez courageuse pour publier un livre qui secoue puissamment les fondements de notre image du monde.

Sans l’autorisation d’imprimer les images du Dr Carl Baugh, du Dr Don Patton et du Dr Cecil Dougherty, une documentation exhaustive des découvertes de Glen Rose n’aurait pas été possible. Merci cordialement ! Mais c’est aussi Zecharia Sitchin, Bernard Roidinger, John D. Morris, Peter Krassa, Dr Albert Vollmer, Robert V. Gentry, Robert Helfinstine, Erdogan Ercivan et le Natural Resources Canada que je remercie pour l’autorisation d’imprimer les bonnes images informatives présentées dans ce livre.

Enfin, je voudrais remercier ma famille qui m’a fourni une aide supplémentaire dans la période de développement de ce projet de livre qui a duré plus de deux ans et qui m’a accompagné au Texas. Ma fille Larissa a activement accompli avec moi, par une chaleur brûlante et dans les conditions les plus pénibles, un dur travail dans la Paluxy River : qu’elle en soit particulièrement remerciée.

Je souhaite ne pas remercier M. Franz Ossing du GeoForschungsZentrum de Potsdam, qui m’a strictement interdit d’imprimer la « pomme de terre » (notre Terre) générée grâce aux données satellitaires.

Je voudrais m’excuser auprès de tous les scientifiques qui travaillent consciencieusement. Malheureusement, ils arrivent souvent à des résultats erronés, parce que les nouvelles recherches, le plus souvent excellentes, sont interprétées depuis le point de vue de théories et de dogmes dépassés. Les modèles de pensée des scientifiques, situés à la base de notre image scientifique du monde, qui date de deux siècles, sont pourtant obsolètes et doivent être fondamentalement repensés.

Hans-Joachim Zillmer

 

Des idées et des théories qui

contredisaient les notions que l'on a de l'histoire de la Terre et de l'évolution, ont été confirmées depuis la première édition de l'Erreur de Darwin :

a) L'action des « super » raz-de-marées a été plusieurs fois confirmée :

• Vagues d'une hauteur atteignant jusqu'à 130 m en Australie il y a 6000 et il y a 400 à 500 ans ( Natural Hazards, vol. 24, 2001, p. 231-249).

• Un raz de marée haut de 500 mètres il y a prétendument 120 000 ans à Hawaï ( Geology, vol. 32, n°9, septembre 2004, p 741-744 ).

• Des « super » raz-de-marée ont rempli plusieurs lacs qui n'existent plus aujourd'hui : la mer Caspienne et le lac d'Aral ( Science, 29/03/2002, vol. 295, p 2379-2380 ).

Le nord-ouest du Pacifique au niveau de l'Amérique du Nord a été en quelques heures radicalement transformé par un flot venant du lac Missoula et suivant la période glaciaire ( Science 29/03/2002 vol.295 p 2379-2380 )

Tsunami de plus de 1000 m de haut sur l'Allemagne du vivant de nos ancêtres.

 

b) Le bois pétrifié peut se former en quelques jours ( Advanced Materials, vol. 17, janvier 2005, p 73-77 ).

 

c) L'humanité a failli s'éteindre ( Proceedings of the National Academy of Sciences », 1999, vol. 96, p 5077-5082).

 

d) Il y a eu une modification rapide de l'axe de rotation de la Terre d'environ 20 degrés, accompagnée d'une modification globale du mouvement des plaques, de grandes éruptions volcaniques locales et d'une modification de la polarité du champ magnétique pendant l'ère des dinosaures ( Science, vol. 287, 21/01/2000, p 455-459).

e) L'existence des dinosaures il y a relativement peu de temps a été confirmée par plusieurs découvertes d'os non pétrifiés (cf. Le mensonge de l'évolution, 2005, p 53 sq.) ainsi que de quelques cellules manifestement intactes, tissu mou bien conservé et vaisseaux sanguins élastiques et extensibles, appartenant à un tyrannosaure fossile ( Science, 25/03/2005, vol. 307, p 1952-1955).

f) Le pétrole s'est formé de façon anorganique et non à partir de matière organique morte ( Proceedings of the National Academy of Sciences, 2002, vol. 99, p 10976-10981).

g) Le Grand Canyon s'est formé en raison de super-raz de marées qui étaient jusqu'à 37 fois plus importants que la plus grande inondation par le Mississippi il y a 10 000 et seulement 1300 ans (in : House et al., 2002).

h) Des crânes de l'âge de pierre (néandertaliens et cro-magnon) originaires d'Allemagne ont été brusquement rajeunis de presque 30 000 ans et leur âge a été estimé à tout au plus 5000 ans ( Le mensonge de l'évolution, 2005, p 209 sq.).

i) Les oiseaux modernes ne proviennent pas de dinosaures théropodes (sauriens prédateurs) ( Bild der Wissenschaft , Onlineticker 16/08/2002).

j) Coexistence de grands mammifères et de dinosaures : on a découvert en Chine les restes fossilisés, vieux de 164 millions d'années d'un proto-castor ( Science, 24/02/2006, vol. 311, p. 1123-1127), et on a trouvé en outre un mammifère âgé de 128 à 139 millions d'années (Repenomamus robustus) qui avait avalé un petit psittacosaurien ( Nature, vol. 421, 2003, vol. 416, p. 807-814).

k) Les primates pourraient avoir vécu déjà 35 millions d'années plus tôt qu'on ne l'admettait auparavant, pendant le crétacé, avec les dinosaures ( Nature, 18/04/2002, vol. 416, p. 726-729).

l) Le 29 juillet 2005 a été découvert le corps céleste 2003 UB 13, provisoirement considéré comme la 10e planète. Cet objet baptisé Xena, accompagné par une lune, est plus grand que Pluton et suit une trajectoire semblable à une comète.

 

~ Prologue ~

Il était une fois une image du monde, démontrée d'une manière scientifiquement exacte, qui était âgée de 200 ans. Il ne restait plus que peu de choses à explorer, et le savoir couvrait véritablement l'univers...

Ce conte moderne est le résultat des théories de la mécanique céleste d'Isaac Newton et de la doctrine de l'évolution de Charles Darwin. Une harmonie universelle est censée avoir toujours dominé. Selon ces principes, tout, y compris notre Terre, s'est développé de façon progressive et uniforme. Par hasard, un acide aminé a abouti à un unicellulaire. Il ne s'est pas ensuite développé d'abord en un bicellulaire, mais directement une forme de vie complexe, comme nous l'enseigne la théorie de l'évolution. Même si cela devait être exact, il se pose une question qui jusqu'à présent n'a pas été formulée : d'où est venue la deuxième cellule, après que la première se soit formée par un hasard incroyable ?

Y a-t-il eu simultanément plusieurs hasards incroyables, ou deux seulement, au début ? Dans ce cas, il doit y avoir eu n'importe quand, un jour, un bicellulaire.

Pourquoi ne trouve-t-on pas cet organisme dans la nature, ni un tri ou un tétracellulaire ? D'où vient le code génétique, comment est-il entré dans la cellule : c'est toujours une des plus grandes énigmes de la science. Quoi qu'il en soit, la vie est censée s'être développée d'abord dans l'eau, puis aussi sur la terre. Tout se serait déroulé très lentement mais systématiquement.

La théorie de Charles Lyell, qui fonde la géologie, et affirme que la modification de la surface terrestre est l'effet de forces actuelles infimes, est à la base de l'image que nous nous formons aujourd'hui du monde. Cela signifie que la physionomie apparente de la Terre ne s'est que très peu modifiée au cours de son histoire. La théorie de l'évolution de Darwin s'édifie à son tour sur ce dogme, inconditionnellement, car il ne peut y avoir d'évolution progressive que si des catastrophes terrestres graves et globales n'ont pas eu lieu. Le darwinisme part de la survie de l'espèce la mieux adaptée selon le principe de sélection. Mutation, sélection naturelle et isolation sont les facteurs les plus importants de l'évolution. Les théories que j'ai mentionnées revêtent en science un caractère de loi intangible. Dans ce livre, nous montrerons les contradictions de ces théories au moyen de découvertes fossiles, de pétrifications et d'exploitation des traditions antiques : c'est le chaos, et non l'uniformité, qui prédominait. L'Ancien Testament en particulier est sollicité pour éclairer des questions ouvertes.

Jusqu'à il y a 200 ans, on était convaincu que Dieu avait créé le monde. La théorie de l'évolution de Darwin a été méconnue pendant longtemps, parce qu'elle rejetait strictement l'histoire biblique de la création et donc la position particulière de l'homme qui l'accompagne, et les renvoyait dans le registre des contes. Dans notre livre, nous démasquons le caractère erroné de la théorie de l'évolution grâce à des preuves solides. De toutes nouvelles recherches dévoilent que l'un des appuis du darwinisme, qui paraissait jusque-là très solide : la loi biogénétique fondamentale d'Ernst Haeckel, est une simple supercherie. Toutes ces théories datent du XIXe siècle et doivent être repensées de fond en comble. Seuls des outsiders peuvent donner l'impulsion à ces études, par des réflexions interdisciplinaires, même si elles entraînent de vives contradictions, comme à l'époque de la publication des livres d'Immanuel Velikovsky.

Les doctrines de l'uniformité que nous avons citées rejettent catégoriquement toute notion de catastrophe terrestre globale, parce que celle-ci aurait donné le coup de grâce à l'idée d'une évolution progressive des espèces. Toutes les observations que l'on fait aujourd'hui sont, sans être modifiées, projetées dans le passé de la Terre. Un système commode, parce que, les conditions annexes étant toujours identiques, tout peut être calculé et interprété. Mais s'il y a eu au moins une fin du monde, aucune des théories de l'uniformité ne peut être juste, et elles doivent obligatoirement conduire à des résultats faux.

Si l'on démontre que les espèces qui se développent prétendument l'une après l'autre existent en même temps, la notion d'évolution est réfutée, car dans ce cas le darwinisme constitue par sa propre définition un château en Espagne sans fondement réel.

~ 1 ~

Artéfact ou supercherie ?

 

Pendant les vacances d'été 1988, j'ai lu un livre intéressant de Johannes von Buttlar concernant des découvertes et des trouvailles inhabituelles1. Un des chapitres rapporte brièvement que depuis des décennies, dans la région de la Paluxy River, à proximité de Glen Rose, on découvre sans cesse des empreintes de pieds et de chaussures à côté de traces fossiles de pieds de dinosaures. En outre, un vieux marteau abîmé par les intempéries avec un manche de bois brisé a été décrit, marteau qui a été trouvé par la famille Hahn en 1934 à proximité de la petite ville de London, Texas. Ce site de découvertes appartient à la même partie de la ligne de faîte du Llano Uplift que celui de la Paluxy River à proximité de Glen Rose. Seule l'extrémité brisée du manche du marteau dépassait dans les éboulis de roche. La tête et le manche de bois étaient à l'origine complètement entourés par du grès solide. Seule l'éventration du morceau de pierre massif a permis d'expertiser et d'examiner l'artéfact.

Naturellement, ces découvertes sont en contradiction manifeste avec la théorie de l'évolution de Charles Darwin, car les dinosaures sont censés s'être éteints il y a environ 65 millions d'années, et le premier humain à marche verticale, l'Homo erectus, s'est développé, selon ce que nous enseigne l'anthropologie, seulement il y a 2 ou au maximum 3 millions d'années. D'après toutes les opinions admises et en particulier la théorie de l'évolution, dinosaures et humains se sont manqués temporellement de plus de 60 millions d'années.

Naturellement, on ne peut faire cadrer avec ces principes scientifiques le fait que des humains et des dinosaures ont laissé des empreintes de pieds dans la même couche géologique. De même, la trouvaille d'un marteau fabriqué par l'homme, qui, conformément à la détermination temporelle géologique, était enfermé par de la roche vieille de 140 millions d'années, ne s'accorde pas du tout avec l'idée de la théorie de l'évolution, qui entre-temps avait déjà été élevée au rang de doctrine, et par là de dogme, donc de loi intangible.

Automatiquement, on doit poser la question de l'âge effectif de la roche, puisque au moment de la genèse des traces de pieds pétrifiées de dinosaures et d'hommes, elle devait encore avoir une consistance molle, comparable à ce qui se passe dans le cas des empreintes de plâtre a durcissement rapide ! Il en va de même pour l'inclusion complète du vieux marteau dans du calcaire, qui constitue bien le produit de départ de notre ciment moderne à durcissement rapide. Si l'on suppose que les trouvailles et les traces décrites ne sont pas des supercheries, mais des preuves assurées, on obtient quelques conclusions intéressantes : les dinosaures et les hommes vivaient ensemble, et le calcaire s'est formé du vivant des dinosaures et des hommes. En d'autres termes : les sédiments se sont formés au temps de la coexistence d'êtres vivants, qui, selon notre image du monde, sont censés ne pas avoir vécu en même temps, pas même approximativement.

La question de la date de ces événements reste ouverte. Il peut sembler évident que les hommes et les dinosaures vivaient ensemble dans notre monde il y a au moins 65 millions d'années, car à cette date, ces animaux primordiaux sont censés s'être éteints très soudainement. La roche aussi est prétendument très ancienne selon les principes de la géologie. Si j'admets que les théories scientifiques sont exactes, il en résulte une nouvelle sensationnelle, car l'humanité ne serait pas relativement jeune, mais aurait un passé dont on ne connaissait pas auparavant la longueur.

Mais cela est-il juste ?

Peut-on penser inversement que les dinosaures ont survécu et se sont éteints il y a seulement quelques milliers d'années ? Dans ce cas, l'humanité serait, conformément à notre image du monde, relativement jeune. Mais cela signifie à son tour, si l'on est conséquent, que la roche de la Paluxy River avec les empreintes de pieds ne peut, elle aussi, s'être formée que dans le passé le plus récent. Cette possibilité constituerait sûrement une nouvelle absolument sensationnelle, qui défierait résolument la contradiction, car si l'on suit ces suppositions, la croûte terrestre ne peut s'être formée qu'il y a peu de temps.

Pourtant, les géologues et les paléontologues sont unanimes pour estimer que les couches rocheuses en question doivent être âgées de 140 millions d'années, et rattachées à la fin du jurassique. Les dinosaures et les hommes seraient par conséquent exactement aussi vieux. Mais la détermination scientifique de l'âge est-elle exacte ? Si je remets fondamentalement en question les datations des géologues, j'obtiens des possibilités alternatives intéressantes, mais qui renversent notre image du monde :

le calcaire ainsi que les dinosaures et les hommes sont au moins âgés de 65 millions d'années 

les dinosaures, les hommes et les couches rocheuses correspondantes sont relativement jeunes, éventuellement âgés seulement de quelques milliers d'années 

l'âge commun à déterminer se trouve entre ces valeurs extrêmes.



Les découvertes décrites et les conclusions qui en découlent sont littéralement incroyables. L'image du monde qui paraissait jusqu'à présent assurée se révélerait soudain une fausse piste si l'authenticité des trouvailles en question pouvait être démontrée. Comme j'avais eu l'attention attirée dans divers livres et journaux par des descriptions d'autres trouvailles pareillement inhabituelles, qui semblaient contredire notre conception du monde, j'ai décidé d'être actif et de mettre à l'épreuve sur place l'exactitude des théories.



~ 2 ~

Le marteau fossile



Les examens circonstanciés du marteau fossile confirment son authenticité. Cette découverte nécessite un changement radical de notre image du monde, parce que dans ce cas il ne saurait y avoir de développement lent et par là d'évolution.



La visite à Glen Rose

À l'occasion d'un circuit à travers le Middle West des USA, en 1993, j'ai saisi l'occasion de rendre visite au chef-lieu du Somervell County, Glen Rose. Le Somervell County Museum et le Dinosaur Valley State Park constituent des curiosités2. Le musée abrite des témoignages des temps préhistoriques, et l'on peut voir dans le parc national, dans la Paluxy River et dans ses environs, des traces bien conservées de dinosaures.

Le Somervell County Museum se trouve en plein dans le centre historique du chef-lieu. Lors d'une brève promenade, j'ai eu l'attention attirée par les fossiles exposés d'une manière apparemment hétéroclite. Il s'agissait par exemple de différentes espèces et formes de bois pétrifié, de fragments fossilisés de corail, ainsi que de vieilles dents de requin, de morceaux de pierre taillés dans la roche brute avec des traces de pieds de dinosaures, de trilobites pétrifiés (crabes primitifs), de fragments de crâne de mammifères assez grands, d'os de divers animaux primordiaux, et d'autres trouvailles préhistoriques qui avaient été faites au cours des décennies passées dans les environs de Glen Rose.

La considération attentive des pièces me rendit songeur, parce que ces objets pétrifiés avaient tous été trouvés dans des couches géologiques similaires. Ce qui prouverait l'existence contemporaine des animaux primitifs les plus variés appartenant à des époques que l'on présente comme très différentes. Mais dans ce cas, la théorie de l'évolution de Charles Darwin, l'assise de notre image du monde actuellement valide, serait privée de toute base réelle, car s'il y a une coexistence des dinosaures et des mammifères, il ne peut y avoir aucun développement et donc aucune filiation des espèces.

En fait, j'ai visité le musée pour découvrir le marteau enveloppé de roche. J'avais apporté une photocopie de l'image publiée pour l'identifier. Le musée était surveillé par une dame âgée, la directrice, Jeannie Mack. Lorsque je lui ai posé la question, elle m'a confirmé que ce marteau avait séjourné il y a très longtemps, oublié, sur l'une des étagères proches de son musée. Elle put identifier sans équivoque cette pièce unique sur la photo, et il était ainsi clair qu'il ne s'agissait pas d'une simple invention. La dame ne put m'indiquer le lieu où il se trouvait actuellement, mais elle m'indiqua un autre musée que je ne connaissais pas, à 6 ou 7 kilomètres, en direction du Dinosaur Valley State Park.

Après un bref trajet, j'atteignis le Creation Evidences Museum à proximité du Dinosaur Valley State Park. Il était comparable à deux grands bureaux, situés l'un à côté de l'autre. Différentes pièces et photos étaient exposées, qui montraient dans nombre de cas des traces pétrifiées de pieds d'hommes et de dinosaures. Une partie des empreintes de pieds humains étaient plus grandes que la moyenne. Le directeur en est le Dr Carl Baugh, un archéologue, qui entreprend des fouilles à proximité.



Après un premier entretien, nous visitâmes, ma famille et moi, le Dinosaur Valley State Park. Nous trouvâmes d'innombrables traces pétrifiées de pied de dinosaures dans le lit de la Paluxy River et sur le plateau rocheux de la rive. Chose étonnante, ces traces se trouvaient très haut dans les couches géologiques. En fait, l'eau qui s'écoulait sur les traces de pieds aurait dû éroder très rapidement ces marques des animaux primitifs et les rendre ainsi impossibles à reconnaître, mais les traces vieilles d'au moins 65 millions d'années nous paraissaient fraîchement laissées. En outre, je trouvai deux empreintes qui présentaient la forme allongée grossière d'un pied humain, mais aucun détail, comme par exemple le gros orteil, ne pouvait être repéré.



Description du marteau

Nous revînmes au Creation Evidences Museum, et le Dr Baugh me fit accéder aux documents nécessaires relatifs aux résultats des examens du marteau fossile. Cet outil antique présente une forme simple, presque comme un marteau de maçon, usuel en Allemagne. Le manche a subi une pétrification cristalline, il est très dur et sa structure est intacte. On pouvait constater que la partie intérieure, partiellement poreuse était transformée en charbon. La combinaison de la carbonisation et de la pétrification ne peut être expliquée scientifiquement. Je ne connais aucune pièce similaire dans le monde entier. Deux processus tout à fait différents doivent s'être déroulés simultanément ou peu de temps l'un après l'autre. Une conservation dans une eau courante est absolument nécessaire pour une pétrification cristalline, alors que pour la genèse de carbone poreux, on pourrait supposer une chaleur extrême. Eau et feu (incandescence) sont deux éléments extrêmement différents, qui s'excluent réciproquement. Cette contradiction apparente sera résolue lors de l'analyse du déroulement du déluge, que nous entreprendrons plus tard.

Les couches externes du manche du marteau me rappellent les troncs et les souches de bois pétrifiés du Petrified Forest Nationalpark, Arizona, que j'avais déjà visité en 1988. Les troncs de bois fragmentés que l'on peut y examiner sont totalement pétrifiés et présentent une structure cristalline homogène. Je ne connais aucune pièce dans ce parc qui présente à l'intérieur du charbon, comme le marteau fossile. L'âge de ces troncs d'arbres est officiellement estimé entre 100 et 200 millions d'années. Le bois pétrifié apparaît quand il séjourne dans la terre en formant le dépôt de fleuves ou de lacs ayant débordé. Il est imprégné de silicates dissous dans l'eau, contenus par exemple dans de la cendre volcanique. Ces matières prennent la place de l'hydrogène et de l'air contenus par le bois, et entament le processus de pétrification par silicification. Il peut se former ainsi de l'opale ou du quartz très dur, et le produit final est à peu près cinq fois plus lourd que le bois de pin.

Cette brève description du manche du marteau montre à l'évidence que cet outil fossile doit être authentique et âgé ! Malgré toutes nos prouesses techniques, nous ne sommes pas capables de produire un manche de bois pétrifié contenant dans sa partie intérieure du charbon devenu poreux à l'aide de méthodes modernes, ni même démodées ! Une supercherie est de ce fait exclue. Je dois souligner nettement cette constatation, car tous les artéfacts qui ne cadrent pas avec notre image habituelle du monde sont prétendus faux. Et ce marteau ne peut être expliqué par notre science scolaire, parce que le bois pétrifié, et par conséquent cet outil antique, doivent, selon la conception du monde admise, être au moins vieux de 140 millions d'année. Or pour l'opinion de la science scolaire, il n'y a d'homme fabriquant des outils précieux que depuis quelques milliers d'années. Quelque chose ne cadre pas avec la datation et les grands laps de temps des époques terrestres passées. L'humanité est-elle âgée de X millions d'années, ou est-elle jeune, et les processus de formation rocheuse se sont-ils ainsi déroulés uniquement il y a peu de temps ?



Examen du marteau

Avant d'aborder plus précisément ces questions, je voudrais décrire plus en détail les particularités de la tête du marteau, car cette description complétera définitivement l'énigme. Des examens circonstanciés ont été entrepris indépendamment par divers instituts. John Mackay, le directeur du Creation Science Foundation en Australie, a soumis lors de son séjour en Amérique le marteau à des analyses très poussées3. Divers métallurgistes australiens, ainsi que l'institut métallurgique reconnu du Batelle Memorial Laboratory à Colombus, Ohio, y ont participé. Des microscopes électroniques très perfectionnés ont servi à examiner la structure et la composition de l'acier avec lequel la tête du marteau a été fabriquée.



Le résultat des examens fut à la fois mystérieux et énigmatique, car il apparut que la composition chimique de la tête du marteau était à 96,6% constituée de fer, à 2,6% de chlore, et à 0,74% de soufre. Incroyable, ce matériel se compose de fer presque absolument pur ! On ne put mettre en évidence d'autres adjonctions ou impuretés.

On dispose, parmi les techniques d'examen non destructrices de la qualité de l'acier, de procédés radioactifs, magnétiques et de ceux qui utilisent les ultrasons. On a constaté au moyen de radiographies que l'acier de la tête du marteau ne contient aucune inclusion ou irrégularité. Il a donc été traité et durci d'une manière ou d'une autre. En fait, le fer chimiquement pur qui n'a pas été élaboré davantage doit être relativement mou. Mais d'après la structure uniforme mise en évidence, il semble s'agir d'un acier dur qui a été produit au moyen d'une technologie hautement développée à partir de fer chimiquement pur.



Le résultat de l'investigation est tout simplement sensationnel et en même temps presque utopique, car celui qui s'y connaît ne serait-ce qu'un peu en fabrication moderne d'acier sait que dans tous les processus connus de fabrication d'acier de haute teneur, des souillures par du silicium ou du carbone doivent inévitablement se produire ! Je souligne le mot doivent. Une production d'acier sans ces impuretés est tout simplement inimaginable ! Même d'autres additions connues dans l'affinage de l'acier, comme le cuivre, le titane, le manganèse, le cobalt, le molybdène, le vanadium, le tungstène ou le nickel, n'ont pu être mises en évidence. Dans les méthodes de fabrication de l'acier que nous connaissons, ces éléments et d'autres sont introduits, selon le domaine d'application, pour conférer certaines propriétés à l'acier.

Est aussi inhabituelle la haute teneur en chlore de la tête du marteau, car dans les processus de la fabrication moderne de l'acier, cette matière ne joue en fait tout simplement aucun rôle, et n'est pas non plus employée aujourd'hui. L'acier à haute teneur qui compose cet outil ne peut donc pas avoir été produit par nos méthodes d'élaboration moderne. La question suivante se pose automatiquement : qui a produit ce marteau et à quelle époque ? Selon l'état officiel de notre recherche et de notre science, ce marteau ne peut en fait tout simplement pas exister ni avoir été fabriqué. Une tête de marteau falsifiée est donc fondamentalement exclue. J'avais aussi constaté quelque chose d'analogue pour le manche déjà. Donc deux matériaux, sûrement non falsifiés, pour lesquels nous n'avons aucune explication scientifique, et qui sont réunis dans un outil. Une preuve tout à fait extraordinaire d'une histoire de la Terre ou de l'humanité radicalement différente.

Si notre science scolaire a raison dans sa présentation de l'histoire de la Terre, il ne reste plus qu'une solution possible : ce marteau a été perdu par un extraterrestre lors de sa visite sur la Terre. Mais il existe une autre explication logique que je décrirai dans le reste de ce livre. Quoi qu'il en soit, la solution de ce problème ne concorde pas avec les théories scientifiques traditionnelles.



Le marteau fossile présente encore d'autres particularités. Lors de l'ouverture du morceau de roc originel en 1934, la tête de métal a été endommagée au niveau de l'arrête supérieure, sous forme d'une petite encoche. La surface de cet endroit est apparue brillante comme de l'argent. Même après plus de 60 ans, cet endroit ne s'est pas modifié de façon constatable. On ne repère aucune trace de rouille ! Il se pourrait que la responsabilité de ce phénomène soit attribuée à la haute teneur en chlore, accompagnée d'une absence complète de carbone, qui autrement aurait produit au contact de l'air la réaction nécessaire à la corrosion. Le reste de la surface de la tête du marteau consiste en une surface noircie sombre, comme celle qui pourrait avoir résulté d'un incendie, ce dont témoigne aussi la partie intérieure carbonisée du manche.

L'analyse de ce revêtement donne 82,9% de silicium, 3,6% de soufre, 2,5% de calcium, 1,3% de chlore et 0,78% de potassium. La composition de cette croûte pourrait correspondre à la réaction chimique entre les éléments du métal et les parties du matériel rocheux entourant le marteau d'un côté, et d'un autre côté les substances dissoutes dans l'eau souterraine. On voit apparaître sur une partie de la tête du marteau un reste de roche qui semble collé et fusionné avec le métal.



John Mackay et des experts américains ont émis la supposition que ces phénomènes à la surface du métal pourraient s'être formés sous une pression d'au moins deux atmosphères, avec protection simultanée contre le rayonnement ultraviolet, ce qui présuppose à vrai dire des conditions atmosphériques radicalement différentes des nôtres. Il n'a pas été possible de donner une autre explication plausible à ces phénomènes inhabituels. En résumé, on se trouve en présence des faits suivants :



le marteau a été fabriqué par des hommes 

le manche consiste en bois pétrifié, carbonisé à l'intérieur 

la tête du marteau est faite d'un métal très pur, que nous ne pouvons pas produire, et il ne se corrode (rouille) pas 

le marteau était complètement enveloppé de roche 

une chaleur extrême (lave ?) et de l'eau courante ont agi sur le marteau 

à l'époque de la fabrication du métal, il devait vraisemblablement régner sur la Terre une pression d'au moins deux atmosphères qui a été suivie d'une chute de la pression atmosphérique.



Origine naturelle de l'acier ?

Si le métal de la tête du marteau ne peut pas avoir été produit avec nos méthodes modernes, la question se pose : peut-il être tout simplement d'origine naturelle ? On peut imaginer diverses explications. Une possibilité facile à envisager serait que ce métal soit fait d'un matériau déjà prêt présent dans le noyau d'une météorite métallique. Il n'aurait plus fallu alors que façonner et élaborer l'acier trouvé.

D'un point de vue technique, l'expérience montre qu'un procédé de ce genre, sans affinage supplémentaire de l'acier, accompagné en même temps de souillures inévitables, ne donne pas un bon marteau dur. En outre, le matériel de la plupart des météorites contenant du fer se présente associé à du nickel, et à de faibles souillures par du cobalt, de l'aluminium, du soufre, du phosphore, du chrome et du carbone. Or, à part du soufre, aucun autre élément n'a été mis en évidence dans le métal du marteau. La théorie de la météorite est donc exclue.

On pourrait aussi imaginer que le matériel de base a été trouvé dans un gisement quelque part sur terre. Mais on n'a pu jusqu'à présent mettre en évidence aucune trouvaille correspondante. Le minerai de fer apparaît presque toujours associé à d'autres éléments, et si ce n'est pas le cas, on a affaire à du fer mou, non à de l'acier.

Comme aucune de ces possibilités ne peut être envisagée, il ne reste qu'une conséquence, c'est que ce marteau a été fabriqué au moyen d'un procédé technique inconnu de nous, dans des conditions atmosphériques foncièrement différentes.



Quand a-t-il été fabriqué ?

On peut montrer que l'ensemble du marteau était autrefois complètement enveloppé par un grès massif, et l'est toujours partiellement. Une partie du métal a établi une liaison chimique avec le matériel rocheux environnant. Il en découle obligatoirement que le marteau fossile doit être apparu avant la genèse du matériel rocheux ! L'âge de la roche est estimé par les géologues à au moins 140, éventuellement même 400 millions d'années. Si cette appréciation était juste, le marteau devrait au moins être aussi vieux. Obligatoirement, l'humanité devrait exister non pas depuis peut-être 4 millions d'années, mais être âgée d'au moins 140 millions, peut-être aussi selon les données géologiques de 400 millions. Si l'on réfute cette détermination temporelle et si l'on met en évidence une erreur dans son fondement théorique, le marteau, mais du coup aussi la roche et l'extinction des dinosaures, pourraient n'être âgés que de 10 000 ans. Et c'est précisément cela, la non concordance et l'erreur fondamentale des méthodes de détermination de l'âge, que je mettrai en évidence au fil de ce livre. Dans notre cas, on obtient des conséquences fondamentales pour le déroulement théorique du développement de l'histoire de la Terre.



Comme les propriétés techniques, optiques, chimiques et physiques que j'ai décrites ne permettent pas d'envisager une falsification du marteau, la science scolaire traditionnelle a donc involontairement déplacé l'âge de l'humanité très loin dans le passé. En fait, trop loin. Pourquoi ? Parce qu'alors la théorie de l'évolution que l'on connaît aurait été disqualifiée et serait apparue comme une pure invention. Dans ce cas, l'homme était déjà présent avant les singes, qui du point de vue scientifique dominant auraient pu se développer au plus tôt après l'extinction soudaine des dinosaures, il y a soi-disant 65 millions d'années. Car c'est alors seulement que l'évolution progressive des grands mammifères est censée avoir commencé. C'est une contradiction fondamentale des énoncés de la science scolaire. Une question rhétorique, mais tout à fait conséquente du point de vue de l'évolution, se pose d'elle-même : le singe provient-il des hommes ? Sous cet angle de vue, une évolution et un développement fortuits et lents de l'homme, avec nombre de hasards et de mutations, à travers de longues périodes de temps, apparaît comme un conte de fées.

La seule possibilité pour les partisans de la théorie de l'évolution, c'est d'ignorer les preuves de la coexistence de l'homme et des dinosaures ou de la présenter comme une supercherie. C'est d'ailleurs ce qu'ils font, et cela va logiquement jusqu'à la diffamation personnelle des chercheurs concernés. Ce qui contredit l'opinion officielle n'est pas pris en compte, et est si possible transformé en objet de risée par la polémique. Car si l'on reconnaissait l'authenticité d'une seule découverte, presque tous les livres spécialisés ainsi que les programmes scolaires liés aux orientations spécialisées correspondantes devraient être réécrits. Tout deviendrait soudain radicalement différent. Mais qui veut librement s'exposer à tant de peines, ou qui admet aussi volontiers des erreurs fondamentales, même si elles doivent être attribuées aux modèles de pensée des grands auteurs du XIXe siècle ?

On se sent plongé dans l'obscur Moyen-Âge, quand la science et l'Église avaient établi irrévocablement que la Terre était plate. Des hommes comme le dominicain Giordano Bruno (1548-1600) ont même dû perdre leur vie pour de nouvelles idées. Mais déjà l'écrivain Plutarque (46-120) avait proclamé que l'univers était infini et comptait beaucoup de mondes habités, et il avait reconnu avec justesse que la Terre n'est pas le centre de l'univers ou de notre système solaire.



Une autre théorie

Comme je le montrerai encore dans ce livre, une série de catastrophes naturelles gigantesques (Déluge) a eu lieu dans le monde il y a tout au plus 10 000 ans. La croûte terrestre fut alors plissée, brisée, déplacée et emportée, donc complètement déformée, et des inondations majeures, aussi hautes que des montagnes dans certaines contrées, ont englouti de vastes domaines4. Lors de ces événements, au cours d'une inondation, le marteau fossile a été enveloppé d'une boue molle qui a par la suite durci rapidement, et le bois du manche du marteau s'est pétrifié dans des circonstances catastrophiques en quelques jours. Sont en faveur de ce scénario le bois pétrifié du manche et la croûte fusionnée à l'acier de la tête

 

- "Ce livre bouscule les idées reçues et bien sur cela dérange . Il est vrai qu'il y a comme un parfum de créationnisme qui me dérange , surtout à la fin de cet ouvrage . L'idée de faire cohabiter les dinosaures (sensés avoir disparus depuis plus de 60 millions d'années) et l'être humain est plutôt révolutionnaire . Le problème c'est que l'auteur affirme que cette cohabitation date seulement de quelques millénaires ! Trois auteurs sont assez souvent cités Graham Hancock , Imanuel Velinovski et Zacharia Stitchin , tous trois avancants des théories sur les origines de l'humanité très courageuses allant à contre courant des idées reçues et du scientifiquement correct . Il est évident que la théorie de Darwin ne peut être appliquée à tout ce qui vit ! 200 ans que cette théorie sert de pretexte à absolument toutes les évolutions parfois au mépris de découvertes dérangeantes ! Bref tout ce qui ne rentre pas dans le moule est systématiquement éliminé des livres ou archives .
Des tas de découvertes mettent en doute totalement un bon nombre de théories , cependant une certaine science a décidé de cacher ce qui est gênant . Prenez par exemple le civilisation sumérienne et toutes les sciences apparues plus de 3000 ans avant JC , Ne peut on pas se poser légitimement certaines questions ? Et la liste est très longue ...
Ce livre mérite le détour même si certaines vues parraissent fantaisistes . Par d'autres côtés nous sommes invités à la réflection ."

- "ce livre a marqué a jamais ma vision de la vie et du monde !! cependant faut etre ouvert d'esprit..... je le recommande !! a quand un documentaire filmé la dessus....?? loool"