Enoch : Dialogues avec dieu et les anges, le seul livre que le Christ citait régulièrement parce qu'il le connaissait par cœur

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Pierre Jovanovic

Anne-Marie Bruyant

agrégée de lettres classique

Enoch :

Dialogues avec Dieu et les Anges




Nous tenons à remercier

James C. VanderKam

John. P. Pratt

et tout particulièrement :

Monsieur Joszef Tadeus Milik


« LE » Livre

sur les Anges et sur Dieu

 

 

[ Saint Paul parlant de sa propre sortie hors du corps : ]

 

« Je connais un homme chrétien qui, il y a quatorze ans, a été emporté au troisième ciel.

Je ne sais pas si c'était hors du corps, ou avec le corps, peu importe, Dieu seul le sait.

Mais je sais que cet homme s'est retrouvé au paradis où il a vu et entendu des choses extraordinaires qu'il ne lui est pas permis de répéter »

 

Épître de Saint Paul aux Corinthiens (12:2)

 

 

C h a p i t r e 1

Où on comprend qu'un livre «saint»

ne peut être détruit :

il renaît toujours de ses

cendres censurées

Il en est des livres comme des êtres humains: des millions naissent chaque année, mais deux ou trois seulement arrivent à la postérité. Dans la littérature angéologique et ce, malgré une profusion de titres, deux oeuvres se détachent toujours grâce à la force surnaturelle qui les accompagne, «Dialogues avec l'Ange» et le «Livre d'Enoch».



Problème: les deux livres sont trop «intelligents» et posent un grave dilemme à ceux qui prétendent s'occuper de spiritualité. Accéder à Dieu et aux Anges sans passer par le péage spirituel d'un prêtre ou d'un rabbin constitue une atteinte à leurs privilèges.



Pour cette raison, ces deux livres sont délibérément ignorés ou censurés car les autorités «spirituelles» ne supportent pas les textes donnant trop de liberté de penser à celui ou celle qui les lit. C'est pourquoi elles ont banni, bannissent et banniront toujours ces deux livres1.


Ch a p i t r e 2

Du sexe des Anges et de ceux

qui s'en servent

&

Les 6 raisons qui ont

condamné Enoch

Les autres raisons pour lesquelles Enoch a été retiré des textes canoniques sont d'ordre théologique. En effet, l'auteur explique que les Anges se sont dénaturés en descendant sur Terre pour faire l'amour aux femmes. Curieusement, cela éveille, qu'on le veuille ou non, une certaine sympathie de la part des humains que nous sommes. Une compréhension mutuelle en quelque sorte, puisque les femmes rêvent toujours d'épouser un Ange, et les hommes n'ont jamais été en reste pour enlever les femmes. Enoch précise que ces Anges devaient rester au Paradis, car ils n'avaient aucun besoin de se reproduire, puisqu'ils ne mouraient pas. Ils étaient éternels, des «purs esprits».

L'activité sexuelle, la reproduction, est réservée uniquement à ceux qui meurent. Vous, moi. Et vous, comme moi aimons nous reproduire. Il s'agit d'ailleurs du passe-temps favori des humains. Manifestement, certains Anges, en regardant les couples faire l'amour, puis avoir des bébés, ont dû se dire «et si on essayait, nous aussi de jouer aux humains ?» Les Anges ont eu envie d'avoir des bébés... Curiosité aidant, environ 200 d'entre-eux ont décidé de franchir le Rubicon. Seul problème, leurs bébés ne ressemblèrent pas exactement à des humains. Ces derniers, en grandissant, ont semé la violence sur la Terre, violence que Dieu a été obligé de stopper en provoquant une catastrophe naturelle. La violence a été presque totalement éradiquée. «Presque toute» d'après Enoch. «Cette graine de violence que nous avons tous en nous» dit Howard Bloom l'auteur du célèbre «Princpe de Lucifer2», est toujours là. Et Enoch ajoute que ces Anges vivant au contact des corps féminins, pour le coup, ont été à la longue contaminés... Contaminés, irradiés comme ces inconscients qui ont plongé au coeur de la centrale atomique de Tchernobyl pour l'éteindre. Triste parallèle: cette région de la Russie détient le record mondial d'enfants anormaux. Un Ange déchu d'après Enoch, est donc un Ange dénaturé. Et nous sommes ici bien avant le concile des évêques sur le sexe des Anges !

Deux raisons théologiques.

Voici la troisième: dans son voyage hors du corps par exemple Enoch a identifié assez de noms d'Anges pour ajouter en annexe de son livre un véritable Bottin Mondin céleste. Mais encore aujourd'hui, le Vatican a du mal à avaler le contenu de ce rouleau antique: «on savait que les Anges n'avaient pas de sexe, auront-ils encore un nom demain ?» s'interrogeait Henri Tincq dans les colonnes du quotidien Le Monde3. «Le Vatican», poursuit Tincq, «veut remettre un peu d'ordre dans les pratiques de dévotion et, dans un manuel fort érudit de 300 pages sérieusement intitulé "Directoire sur la piété populaire", il proscrit l'inflation du recours aux anges et aux démons. Seuls trois noms d'ange sont autorisés, les seuls qui figurent dans la Bible: Raphaël, Gabriel et Michaël». Dont acte. Les autres Anges, comme par exemple Uriel extrêmement actif chez Enoch bien avant la naissance du Christ, n'ont pas d'existence légale aux yeux du Vatican.

En 2002 donc, le Saint-Siège a officiellement condamné le Livre d'Enoch une seconde fois, sans même le citer, puisque les noms d'Anges et d'Archanges y sont innombrables !

Quatrième raison, l'enseignement angélique lui-même : selon l'un des deux meilleurs experts 4 mondiaux, l'américain James Vanderkam, professeur en Ecritures Hébraïques de la prestigieuse University of Notre Dame ( auteur de best-sellers et invité permanent de toutes les télévisions mondiales dès qu'il s'agit du monde antique ) le livre d'Enoch donne trois explications pour la chute des Anges chez les hommes, rappelant le film «Les Ailes du Désir» du réalisateur allemand Wim Wenders, toutes liées à l'enseignement qu'ils auraient transmis.

«Explication 1: Les Anges ( avec Shemyaza comme chef ) sont descendus du ciel, se sont divertis avec les femmes des hommes et ont conçu des géants; ceux-ci sont devenus une source de malheurs et de violence pour les hommes.

Explication 2: Les Anges ont péché en enseignant à l'humanité des secrets interdits, et c'est ce qui a entraîné les hommes à pécher.

Explication 3: L'Ange Asael a corrompu l'humanité par ses enseignements».

Au passage, on peut donc considérer le Livre d'Enoch comme la seule explication de ce verset de la Bible:

« 1 Et il arriva quand les hommes commencèrent à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées,

2 que les fils de Dieu virent les filles des hommes, qu'elles étaient belles, et ils se prirent des femmes d'entre toutes celles qu'ils choisirent.

4 Les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et aussi après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes et qu'elles leur eurent donné des enfants: ceux-ci furent les vaillants hommes de jadis, des hommes de renom»5.

Cinquième raison: ce livre peut «ruiner par la base la foi chrétienne» ! Les prêtres catholiques actuels deviennent fous dès qu'on leur parle de «Dialogues avec l'Ange» ou de l'Enoch. Est-ce en raison de la culpabilisation primaire qui représente l'arme psychologique favorite des religions depuis plus de 2000 ans ? La Bible nous dit que vous et moi sommes coupables parce que nos grands-parents Adam et Eve ont péché, et qu'à cause de cela, ils ont été exclus du Paradis. Enoch, bien avant que la Bible ait prit sa forme actuelle, dit tout le contraire, comme on l'a vu : ce n'est pas Eve ni Adam qui sont tombés du ciel, mais une certaine catégorie professionnelle d'Anges, qui, en se répandant sur Terre, ont corrompu les femmes, d'abord par leurs gènes et ensuite par leurs enseignements. L'Homme, affirme Enoch, n'y est pour rien. Ce n'est pas l'Homme qui a été éjecté du Paradis, ce sont les Anges déchus. En revanche, il affirme, répète, martèle que tous nos faits, gestes et pensées sont enregistrés et qu'ils nous seront intégralement restitués le jour du jugement, confirmant ainsi ce que nous rapportent les NDE, les expériences aux frontières de la mort.

Le Livre d'Enoch possède au moins 2250 ans d'avance sur les docteurs Raymond Moody, Elisabeth Kübler-Ross et Melvin Morse.

Dernière raison enfin, l'incroyable ton christique du Livre d'Enoch qui a annoncé, au minimum 200 ans avant sa naissance, l'arrivée du Christ, le «Fils de l'homme». Plus curieux encore, son traitement ressemble étrangement à celui des «Dialogues avec l'Ange», un mélange de respect distant et de vénération sans fin. Les deux livres traitent le «Fils de l'Homme» comme une véritable merveille divine. Et pour les théologiens de l'époque, cela ne pouvait pas être possible.

Toutefois, que tous les docteurs et universitaires se soient trompés dans leurs appréciation depuis 300 après J.C. jusqu'en 1960 ( analyses des découvertes de Qmrân ) reste donc parfaitement compréhensible.

Mais après 1960 ?

Comment expliquer alors que le livre d'Enoch subit encore aujourd'hui un tel scepticisme et rejet ? Pour le pasteur américain Ronald K. Brown qui a publié en 1998 «The Book of Enoch»6, c'est une question sans objet:

«Mon travail n'est pas une apologie du Livre d'Enoch pour convaincre ceux qui douteraient encore de son authenticité, mais pour montrer que l'Ancien et le Nouveau Testament comportent exactement 309 passages directement empruntés au Livre d'Enoch. (...) Mon livre est un effort pour répandre les Evangiles de Jésus Christ, mais comme toujours, c'est au lecteur d'accepter ou de refuser les conclusions».

Brown ne s'est livré à aucun commentaire du Livre d'Enoch, mais à un simple constat fait par honnêteté intellectuelle et à sa connaissance parfaite de la Bible. Il n'a pu s'empêcher d'établir les parallèles stupéfiants entre les versets d'Enoch et les paroles du Christ. Lui aussi a été obligé de reconnaître que Jésus connaissait obligatoirement le Livre d'Enoch par coeur, car il n'existe aucune autre explication possible à de telles concordances.

Le professeur James VanderKam remarque un autre point qui plaide en faveur d'Enoch annonçant le Christ: le passage de Saint Luc7 parlant de la transfiguration de Jésus avait été mal traduit du grec original par les copistes qui voulaient absolument faire correspondre cette phrase avec celle des autres évangélistes. Les versions actuelles donnent «Et il y eut une voix venant de la nuée, disant: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le» alors que le texte original en grec dit simplement «Celui-ci est mon fils, l'Elu». Or «l'Elu» est LE thème8 récurrent dans Enoch, revenant plus de dix fois, quatorze fois pour être précis, tout au long des chapitres, comme pour vraiment prévenir de l'arrivée du Christ...

Alors comment expliquer encore ces résistances, ces freins ? Eh bien, tout simplement par le fait que 80% des prêtres catholiques actuels ne croient plus que leur Dieu puisse avoir une dimension surnaturelle, qu'il puisse annoncer des choses longtemps à l'avance, faire des miracles ou que les hommes puissent vivre des sorties hors du corps ou avoir des visions. Le Père François Brune l'a constaté lui-même dans son livre «La Vierge du Mexique, ou le miracle le plus spectaculaire de Marie»9 :



«Voici, à titre d'exemple, les résultats d'une enquête sur la croyance aux miracles, menée parmi les théologiens de langue allemande. Il s'agit d'une thèse soutenue devant la faculté de droit de l'université libre de Berlin, en 1988, par Harald Grochtmann. L'auteur cherche à voir dans quelle mesure et à quelles conditions les tribunaux pourraient admettre dans leurs procès des faits de nature paranormale. Ce faisant, il est amené, assez naturellement, à se référer à une institution qui a, en la matière, une expérience millénaire: l'Eglise (catholique ou protestante). Il entreprend donc une étude comparative des exigences des tribunaux et de celles de ces Eglises pour reconnaître, comme éléments de jugement, des faits ou des témoignages. Une des parties de son étude consiste à se demander où en est la croyance aux miracles, parmi les théologiens chrétiens eux-mêmes.

Il cite donc une première liste de 23 théologiens pour lesquels il n'y a jamais eu de phénomènes contraires aux lois de la nature et donc, en ce sens, pour eux, jamais de miracles.

Puis vient une liste beaucoup plus longue de théologiens qui reconnaissent qu'au moins le Christ, en tant que Dieu, aurait pu en faire, mais qui soulignent que d'autres interprétations sont possibles. Ainsi, l'expulsion des démons est réinterprétée en termes psychanalytiques, les guérisons en termes psychologiques, les résurrections ne sont que des impressions dues à un état de mort apparente, etc. Cependant, tous les miracles ne se prêtent pas à ce genre de réinterprétation, par exemple, l'eau changée en vin, la multiplication des pains, la marche sur les eaux etc. Mais c'est, font remarquer certains théologiens, que ces récits de miracles ne sont que des reprises de récits de thaumaturges grecs antérieurs au Christ. L'important, d'ailleurs, nous disent tous ces théologiens et exégètes, ce n'est pas que le miracle ait vraiment eu lieu ou non, mais l'enseignement que contient son récit. Donc, finalement, très probablement, le Christ n'a jamais fait de miracles. Cette liste comporte 63 noms.

Enfin, vient une petite liste d'attardés qui continuent à affirmer que les miracles existent et que tout est possible à Dieu. Grochtmann cite alors 26 noms. Donc, en tout, pratiquement 86 contre les miracles et 26 pour ! 10 Ce contexte intellectuel serait le même en France. M.-C. Ceruti-Cendrier le dénonce vigoureusement:



«Les miracles des Evangiles dérangent énormément. Pour justifier leur présence impertinente, les réformateurs du Nouveau Testament vont leur trouver un pedigree païen, c'est-à-dire légendaire, naturellement... L'idée que les évangélistes ont puisé leurs récits de miracles dans le paganisme est souvent accompagnée de celle que 'les gens de ces époques', immergés dans les rêves, voyaient des miracles partout, et vivaient, avec une imagination enflammée, tous les événements de leur vie quotidienne dans un contexte religieux... Le tout est en général agrémenté d'une comparaison avec nos contemporains, qui, vivant à l'heure de la science et de la technique, ne peuvent plus croire dans ces enfantillages».



L'auteur de cette vive réaction donne alors toute une série d'exemples puisés chez différents commentateurs des Evangiles en en faisant ressortir chaque fois, preuve à l'appui, toute la mauvaise foi.».



Quant aux Anges, n'en parlons même pas...



Dès que l'on touche aux Anges, on se retrouve sur un terrain glissant qui déclenche aussitôt les foudres d'un prêtre armé de ses textes et de ses réglementations canoniques. Ce qui donne grosso-modo ceci : «vous n'avez pas le droit de vous intéresser aux Anges. Vous ne devez vous intéresser qu'au Christ et à lui seul». Ça tombe bien, le Livre d'Enoch était le livre de chevet du Christ ! Dans ces conditions, on comprend que même de nos jours des livres comme «Dialogues avec l'Ange» ou le «Livre d'Enoch» soient tenus à l'écart par ces pseudo «représentants de Dieu» qui ne se sont même pas donné la peine de les lire. D'ailleurs, dans 1000 ans, le livre de Gitta Mallasz risque bien d'être traité de la même manière que l'Enoch, avec des universitaires et des historiens, spécialistes du XXe siècle, qui mettront en doute leur authenticité.



Pourtant, les chapitres 22 à 37 de la version «slavonique» dégagent une telle puissance surnaturelle qu'on se surprend à les relire inlassablement. Une puissance similaire aux lignes des «Dialogues avec l'Ange», un signe qui ne trompe pas. On sent intuitivement que ce qui est écrit là possède une force divine, qu'il y a «quelque chose» dans le Livre d'Enoch, plus dans la versions slavonique d'ailleurs que dans l'éthiopienne. Dieu raconte comment Il a eu l'idée de créer le monde. Rien que ça. Cela paraît fou. Mais en lisant au début avec scepticisme, on se surprend presque à se lever. Et la question qui tourne en même temps dans la tête «et si c'était vraiment Dieu ?». Quel est ce trouble respectueux qui s'empare de celui qui lit Dieu racontant le «Big Bang» ?



«Pourtant, si le Soleil a trouvé la paix dans sa course, Moi, parce que Je créais toute chose et parce que J'ai conçu l'idée de placer des fondations et de créer des créatures visibles, Je ne trouve jamais la paix».



Entendre Dieu «en direct» est fascinant. Mais insupportable pour beaucoup. On embrasse ainsi toutes les raisons pour lesquelles le Livre d'Enoch est resté un livre secret, connu des seuls universitaires; et aussi pourquoi il se maintient contre vents et marées tout au long des siècles. Et comme pour tous les secrets, ceux qui les gardent ne tiennent pas vraiment à ce qu'ils soient révélés au grand jour !



Mais quel est ce secret ?



Réponse unanime, la force surnaturelle qui habite ce livre !



Jozef Milik a vu TOUS les manuscrits de la mer Morte. Il n'y a pas eu un seul fragment qui ne soit pas passé entre ses mains. Quel est alors le manuscrit auquel il a consacré l'oeuvre de sa vie ? Le Livre d'Enoch bien-sûr ! Pourtant, Milik aurait pu écrire d'innombrables livres sur tous les textes saints découverts dans les caves. Quant à James VanderKam, lui, il est «tombé dedans» à l'âge de 20 ans.



Et 40 ans plus tard, il est toujours dessus !



On comprend dès lors pourquoi le livre d'Enoch possède cette formidable réputation magique !







C h a p i t r e 8

Enoch « Slavonique »

ou

Enoch 2

ou

« Le Livre des Secrets d'Enoch »

Pierre Jovanovic


C h a p i t r e 1

Deux Anges apparaissent à Enoch

1 Cela s'est passé le premier jour du mois: je me trouvais seul dans la maison et je dormais dans mon lit lorsque survint un fait étrange:

2 Pendant mon sommeil une immense détresse s'empara de moi, me faisant pleurer même en dormant. Je ne comprenais pas ce que je ressentais, ni d'où venait cette détresse ou ce qu'elle voulait dire, pas plus que ce qui m'arrivait, ni pourquoi je pleurais.

3 C'est alors qu'apparurent devant moi ces deux silhouettes d'hommes immenses; et je ne me souviens pas d'en avoir vu de si grands sur Terre. Leurs visages brillaient comme le Soleil, leurs yeux étaient comme des rayons brûlants et de leurs lèvres s'échappaient des flammes. Leurs chants ainsi que leur apparence étaient différents, mais la couleur violette semblait prévaloir. Quant à leurs ailes, elles étaient plus brillantes que l'or et leurs mains plus blanches que la neige.

4 Ils se tenaient debout à la tête de mon lit et ont commencé par m'appeler par mon nom, «Enoch, Enoch...»...

5 Alors je sortis doucement de mon sommeil, ce qui me permit de mieux les dévisager.

6 Je les ai salués tout en étant terrorisé. Seule la peur devait se voir sur mon visage, car ils me dirent:

7 «Aie du courage Enoch et surtout n'aie pas peur. Dieu l'Eternel nous a envoyé chez toi. Réjouis-toi car aujourd'hui tu visiteras son Royaume. Mais auparavant tu vas laisser des instructions à tes enfants et à ta famille. Dis-leur ce qu'ils doivent faire en ton absence et explique leur que personne ne doit chercher à te voir en attendant que le Seigneur te renvoie à nouveau chez toi».

8 Je me suis empressé de leur obéir. J'ai quitté ma maison pour me rendre chez mes enfants Mathusalem, Regim et Gaidad à qui j'ai expliqué ce que voulaient ces deux Anges.

C h a p i t r e 2

Enoch informe ses enfants



1 Ecoutez-moi mes enfants: je ne sais pas où je vais, ni ce que je vais devenir. En attendant, ne vous détournez pas de Dieu au profit du néant. Que le Seigneur vous rassure. Et maintenant mes enfants, ne permettez à personne de chercher à me voir jusqu'à ce que je revienne.





C h a p i t r e 3

Enoch est emmené par les Anges au Premier Ciel



1 [ Lorsque Enoc

 

"J'ai acheté ce livre pour un cadeau de Noël et la personne n'a pas été déçue. En effet, le livre a été carrément dévoré par la personne en une journée. Je recommande fortement cet article"

"Beau livre il est parfait ;) hâte de le dévorer et d'absorber ses enseignements. merci aux auteurs. Bonne lecture à tous"